Archevêché de Reims
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le deal à ne pas rater :
Smartphone Xiaomi 14 – 512 Go- 6,36″ 5G Double SIM à 599€
599 €
Voir le deal

Saint Nicolas V (Pape PNJ)

Aller en bas

Saint Nicolas V (Pape PNJ) Empty Saint Nicolas V (Pape PNJ)

Message par aurelien87 Ven 31 Aoû - 15:41

Saint Nicolas V (Pape PNJ) Nicovdq6

hagiographie du Pape Nicolas V

Présentation


La très édifiante vie de Tommaso Parentucelli ou Nicolas V, qui fut Oblat, Évêque de Pise et Archevêque de Florence, puis Pape. De son vivant il contribua à la restructuration de l’Église. Aujourd’hui il siège en la communion des saints comme le Saint patron de la Nonciature et de la diplomatie. il fut aussi un mécène des arts, grand amateur de livres rares, rénovateur de la bibliothèque vaticane et modernisateur des institutions romaines. il était bien davantage un homme de lettres qu'un homme d'action. Sa grande générosité, son goût pour l'art et ses choix politiques difficiles lui valent néanmoins d'être considéré comme l'un des papes les plus brillants.


Enfance

La date exacte de la naissance de Nicolas V, né Tommaso Parentucelli, nous est inconnue. On sait cependant qu’il naquit en 1398 dans un village juché dans les Monts Euganéens, dans le sud de l’Italie. Ses parents furent de fervents aristotéliciens et ils baptisèrent leur enfant le 6 mars 1398. Son père était probablement un haut fonctionnaire, voir même un diplomate, ce qui l’obligeait à faire de longs et lointains voyages. Le jeune Nicolas vécut donc la majeure partie de sa jeunesse avec sa mère. Il s’amusait anodinement comme la majeure partie des enfants de son âge et allait, bien évidemment, religieusement à la messe.

Le jeune Nicolas était d’ailleurs très croyant à un point tel que le curé en fut surpris. Le curé invita le jeune Nicolas à l’aider au service religieux et l’invita même souvent à effectuer la traditionnelle lecture du Livre des Vertus.

Malheureusement, quelques temps plus tard, la mère du jeune Nicolas mourut en couche de son deuxième enfant. L’enfant ne survécu pas non plus. Nicolas et son père en furent grandement affectés. Ne sachant trop comment il réussirait à perpétuer l’éducation de son fils, qu’il jugeait très importante, il le confia à un ordre monastique florentin. Affligé, le jeune Nicolas demeura silencieux un certain temps, mais il finit par étaler l’immensité de ses connaissances aux autres moines. Les moines furent tellement surpris par l’étendue des connaissances théologiques du jeune Nicolas qu’ils le firent novice. Nicolas, réussissant avec brio tous les cursus, finit son noviciat en 1413 et devint Oblat. Il avait alors 15 ans.


Carrière Ecclésiastique

Désireux de s’impliquer dans une mesure plus directe pour l’Église, il se détache de la vie monastique et devient le secrétaire de l’archevêque de Florence, monseigneur Giovanni Corzanni. C’est à son service qu’il visite l’Italie et particulièrement Rome où il se lit avec les personnalités religieuses influentes du temps, qu’il n’a que peu de difficulté à rencontrer, sa réputation de fort théologien ayant déjà été entendue à travers le monde aristotélicien. Malheureusement, l’archevêque Corzanni meurt d’un rhume. On nomme alors à sa succession l’Évêque de Bologne, monseigneur Pietro Canzonetta. Celui-ci offre à Nicolas l’évêché de Pise pour le remercier de son travail auprès de son prédécesseur. Il dirige l’évêché sobrement mais efficacement. Il est reconnu comme étant un théologien intelligent et de grande piété et est reconnu par tous ses pairs. À la mort de monseigneur Canzonetta, Nicolas est nommé archevêque de Florence. Il reçoit alors l’hommage d’être admis à la curie. Il a alors 45 ans. Il est choisi responsable de la nonciature, qu’il dirige humblement et dans le plus grand respect d’Aristote. À la mort d’Eugène IV, il est choisi pape au cours d’un bref conclave, dans lequel il reçoit le soutien de tous les cardinaux. Tommaso Parentucelli prend alors le nom de Nicollo V.



Pontificat

Fort de son nouveau statut et de ses moyens, Nicolas V entreprit de réaliser un vieux rêve de théologien : la création d’une bibliothèque complète et ouverte pour les fidèles désireux de se rapprocher de Dieu, d’Aristote et de Christos par la voie de la théologie. Cependant, le projet piétine. La curie, désorganisée, est dépourvue de moyen pour mener à bout le projet. Nicolas V n’abandonne pas. Il demande conseil à Dieu au cours de nombreuses prières. Nicolas V avec les cardinaux Frère Nico, Césars, Arnvald, Turambar, Jarkov, Moile de Suzémont, Nolivos, Marlaeauvergne, Jcaest et Frère Norv lance un faramineux projet de restructuration et modernisation de l’Église Aristotélicienne.


Réorganisation Administrative de l'Église

Nicolas V, Souverain pontife, évêque de Rome, serviteur des serviteurs de Dieu a écrit:Peuples des royaumes, Par cette œuvre réformatrice, j'ai voulu réaffirmer et enraciner l'éternel présence de l’Église au sein de la communauté des royaumes, sa constante évolution dans son organisation, son dogme et ses membres.

Nicolas V entame son projet en réformant la structure administrative de l’Église. À cette époque, les Cardinaux qui étaient au nombre de 11 se voient alors confier d’importantes tâches. Nicolas V les avait définies comme suit :

Nicolas V a écrit:*Chancelier et vice-chanceliers :
Rédigent les bulles Pontificales

*Nonce apostolique :
Cardinal responsable de la congrégation des affaires du siècle.
Ex : A signer de nombreux concordats avec les provinces.

*Inquisiteur général :
Cardinal responsable de la congrégation de l'inquisition.
Ex : Procès et peines sont effectués par l'inquisition.

*Coordinateur des forces militaires :
Cardinal responsable de la congrégation des saintes armées.
Ex : Les croisades RP sont gérées par celui ci.

*Président pour la diffusion de la foi :
Responsable de la congrégation pour la diffusion.
Ex : Un guide du prêtre a été rédigé, un projet de tutorat des nouveaux ordonnés à été monté.

*Le cardinal des ordres :
Responsable de la congrégation des ordres.

*Le cardinal Camerlingue :
Responsable de la congrégation pour l'intégration de l'Église dans les RRs.

*Les cardinaux Exégètes :
Responsable de la congrégation pour la Bible Aristotélicienne.

Nicolas V précise le rôle des Évêque a écrit:Les évêques représentent l'autorité de Rome, des cardinaux et du Pape dans leur région, s'occupent des affaires religieuses et de la nomination des prêtres dans toutes les paroisses.

Le Vatican, ainsi réorganisé, est, au regard de Nicolas V, en mesure de supporter plusieurs modifications au sein de ses institutions. Nicolas V redéfinit alors chacune des congrégations Vaticanes, qu’il fixe au nombre de 7. Il décide que chaque congrégation, administrée par son cardinal, sera axée sur un thème précis. Les congrégations s’ouvrent aux laïcs et la curie décentralise ses pouvoirs.

Nicolas V présentent alors ses 7 congrégations a écrit:*Congrégations pour la diffusion de la foi
Tout ce qui permet d'étendre la foi aristotélicienne à l'ensemble des royaumes (rôle du clergé, synodes, pèlerinage, etc.)

*Congrégation de l'inquisition
Les procès d'inquisition seront préparés ici et proposés à la curie qui fera office de juge.

*Congrégations pour la sainte armée
Tout ce qui est relatif à l'armée (agents secrets, croisades RP, etc.)

*Congrégations pour les ordres
Tout ce qui à trait aux ordres. Les demandes de rattachement d'ordres au Vatican se feront ici.

*Congrégation pour l'intégration de l'Église
Tout ce qui a trait à la réforme du droit canon.

*Congrégation pour les affaires du siècle
Tout ce qui est relatif au monde laïc et aux nonciatures.

*la congrégation du Saint office
Rassemble tous les éléments pour traduire et compiler le livre des vertus Aristotélicien.

Nicolas V crée aussi le statut de missionnaire. Les missionnaires ont pour charge de remplacer les Évêques lorsqu’ils sont absents. Le missionnaire est un ecclésiastique fidèle, qui peut aisément cumuler plusieurs charges au sein de l’Église. Ils sont nommés par la curie. Outre, Nicolas V officialise plusieurs ordres religieux ou militaro religieux.

Réalisation de la Bibliothèque Vaticane

La principale réalisation de Nicolas V est sans aucun doute la création de la bibliothèque vaticane. Il en fait le centre, le cœur, de la foi Aristotélicienne. Le pape Nicolas V, alors qu'il n'était que simple moine, s'était endetté pour acheter ou pour faire copier des manuscrits; déjà, à ce moment de sa carrière, il avouait ouvertement qu'il partageait les deux grandes passions de la Renaissance : celle des livres et celle des monuments. Devenu pape, il resta fidèle à ses goûts : il paya des copistes pour transcrire les œuvres de l'antiquité aristo-héllénique et des émissaires pour chercher partout des manuscrits anciens; Perotto reçut 500 écus pour la traduction latine d'Alexandre, Guarino 1 000 écus pour celle de Plotin. Filelfo aurait eu 10000 écus pour une bonne traduction métrique Aristoxene de Tarente. Lorsque Nicolas V mourut, la bibliothèque Vaticane, comprenait 5 000 volumes; elle devait être installée dans le palais même et en devenir le plus bel ornement, comme jadis le roi Ptolémée Philadelphe avait réservé à sa bibliothèque la place d'honneur dans le palais d'Alexandrie. Lorsque la peste força le Pape à se retirer avec sa cour hors de Rome quelques temps, où l'on faisait alors déjà le meilleur papier, il y emmena ses traducteurs et ses compilateurs pour qu'ils ne devinssent pas victimes du fléau. A son retour, Il convie les diacres, les curés, les archevêques, bref tout le monde, de venir contribuer à référencer les ouvrages qui traitent de la foi. L’œuvre est monumentale. Aujourd’hui, la bibliothèque est la référence de tous les croyants et contient tous les textes nécessaires au rapprochement de Dieu par la voie d’Aristote et de Christos.


Son Oeuvre dans le monde

Nicolas V était particulièrement attaché à la nonciature. Riche de son expérience antérieure de contact avec les gens, il fait de la nonciature le lien primordial de l’Église avec ses fidèles éloignés. C’est un mandat des plus importants qu’il confie à cette congrégation privilégiée.

C'est avec diplomatie que Nicolas V gère les différents qui surgissent au long de son pontificat. il vise le renforcement des relations diplomatiques et fraternelles avec les régions et royaumes en s’efforçant de travailler dans la "compréhension et la satisfaction mutuelle" afin d'apporter sa modeste contribution à l'essor de la pax christi dans le royaume.

Nicolas V à propos du rôle de la Nonciature a écrit:La Nonciature Apostolique, également appelé 'Chancellerie Romaine' ou 'Congrégation des Affaires du Siècle' est destinée à s’assurer des liens et échanges qui unissent les diverses provinces temporelles des Royaumes du monde connu au Saint-Siège. Le siège de la Nonciature Apostolique est le Palais de Saint-Nicolas situé à Rome. Là est décidé la politique étrangère romaine à adopter envers les différentes entités politiques plus ou moins autonomes.

Nicolas V met en place à Rome de nouveaux équilibres politiques et internationaux. l'Europe est à ces moments en train de sortir doucement d'un siècle d'immobilisme et de chaos du aux différentes guerres et pestes ayant ravagés les royaumes désormais renaissants.

Constructeur de fortifications et restaurateur d'églises, il commence son pontificat en embellissant la grande ville romaine et en invitant les peintres, les architectes et avant tout les écrivains. Reconnu rapidement comme seul souverain pontife légitime lors du conflit avec ceux qui voulait faire schisme avec l'église autonome aristotélicienne, il stabilise ses rapports avec Paris, et garde une position de neutralité en SERG.

Surnommé le « pape humaniste », il a Lorenzo Valla à sa cour en tant que notaire apostolique. Il accorde aux dirigeants municipaux romains un certain nombre de privilèges tout en gardant fermement le contrôle de son domaine pontifical. Les œuvres d'Hérodote, Thucydide, Xénophon et Polybe sont réintroduites en Europe occidentale grâce à son patronage.


Blessé par les dommages faits à la culture grecque, foyer aristotélicien, il tente sans succès de lancer une croisade pour délivrer les sophistes Byzantins de l'emprise avéroïste. Pour cela, il remet sur pied une sainte armée efficace et augmente les rentrés fiscales.

Voulant assurer la réussite de la réforme Aristotélicienne, il envoie plusieurs légats, dont Nicolas de Cues, Jean Capistran et Guillaume d'Estouteville, au nord et au sud de l'Allemagne, en Angleterre, et en France. Ayant entrepris la réhabilitation de Jeanne d'Arc, son autorité voit le couronnement de Frédéric III du Saint-Empire.

Le pape Nicolas V accepte comme un mal nécessaire la croisade prêchée par le pieux Norv contre la profusion de cultes hétérodoxe dont le phokaaisme normand. Mais il sait aussi faire preuve de mansuétude lorsqu'il proclame tolérer du bout des lèvres les déviances avéréroïstes et spinozéistes à la double stricte condition de toujours respecter le livre sacré commun, celui des vertus et de s'abstenir de tout acte public à connotation hétérodoxe.

Les historiens retiendront encore sa réaction face aux manigances du cardinal déchu Sanctus.

Nicolas V excommunie ce dernier et ses partisans a écrit:Fort de votre confiance, pour l'honneur et la défense de l'Église, de la part du Dieu tout-puissant, Père, Fils et Saint-Esprit, par notre pouvoir et par notre autorité de curie assemblée, nous excommunions les dénommés Théodore et sanctus et cie ainsi que le pseudo ordre équestre du saint sépulcre de Jérusalem qui par leur orgueil insensé se sont élevé contre notre Sainte Église Universelle d'inspiration aristotélicienne. (...)
Mais quant à sanctus, cardinal déchu viré de la curie pour viols répétés du dogme et pratique démoniaque de sorcellerie, à qui on donne par abus le titre de patriarche, et aux partisans de sa folie, c'est une abondante zizanie d'hérésie qui est chaque jour semée par eux en son sein. (...)

A la fin de son pontificat, certains théologiens en vue commençaient à douter de certaines décisions prises au concile Nicée (primauté de la Foi sur la Raison, de Christos sur Aristote et de l'homme sur la femme.) Le juste milieu de la métaphysique aristotélicienne leur semblait mis à mal par ses décisions dogmatiques. Nicolas V a convoqué, quelques mois avant de mourir, un grand séminaire de réflexion préparatoire à la réforme de dogme. Mais Nicolas V étant mort entre temps, c'est le nouveau pape, Eugène V qui va ouvrir le Concile de Vatican I qui amènera le Renouveau de la Foi. La chronologie non officielle de l'aristotélisme va donc prendre la fin du pontificat de Nicolas V comme pivot entre les ères du questionnement et celle du renouveau de la Foi.

Ce pape a fait inscrire l'égalité entre homme et femme pour toutes les charges dans l'église et a donc rétabli au début de son pontificat le droit à l'ordination pour les femmes. Sainte Illinda fut d'ailleurs promue rapidement par feu Nicolas V comme Archevêque de Malines.

aurelien87

Nombre de messages : 382
Date d'inscription : 10/08/2012

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum