Livre 2 : L'Eglise séculière
Archevêché de Reims :: Bibliothèque Sainte-Geneviève :: La Bibliothèque :: Livre 4 : le Droit Canon :: Livre 2, 3 et 4 l'Eglise réguière, séculière, la justice
Page 1 sur 1
Livre 2 : L'Eglise séculière
Section 2 : Les provinces et diocèses
Le clergé diocésain
Diocèse, du grec « diokésis ». Le diocèse est la portion du peuple de la Dieu confiée à un évêque, héritier de la tradition épiscopale, pour qu'il en soit le guide religieux avec l’aide de la coopération de ses clercs.
Par extension, un diocèse reflète une circonscription territoriale comprenant un certain nombre de paroisses, subdivision du diocèse.
Une province ecclésiastique regroupe plusieurs diocèses dépendant d'un même archevêché, dit métropolitain. Elles sont regroupées en primatie et forme ce que l’on appel une zone « géodogmatique » placées sous l'autorité d'un Primat. En général les provinces religieuses suivent des frontières des comtés temporels.
En mille quatre-cent cinquante-cinq, on compte comme zone géodogmatique :
La primatie du royaume de France.
La primatie du Saint Empire Romaine de la Nation Germanique.
La primatie d’Angleterre et d’Ecosse.
La primatie du Grand-Duché de Bretagne.
La primatie de la Couronne d'Aragon.
Les Evêques
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Lorsqu’on emploie le terme « évêque » seul, il regroupe sans distinctions tous détenteurs d’un pouvoir épiscopal, qu’ils soient évêques ou archevêques.
A) Définition générale
B) Droits et devoirs
C) Les évêques en fonction
Les adjoints
Le clergé diocésain
Diocèse, du grec « diokésis ». Le diocèse est la portion du peuple de la Dieu confiée à un évêque, héritier de la tradition épiscopale, pour qu'il en soit le guide religieux avec l’aide de la coopération de ses clercs.
Par extension, un diocèse reflète une circonscription territoriale comprenant un certain nombre de paroisses, subdivision du diocèse.
Une province ecclésiastique regroupe plusieurs diocèses dépendant d'un même archevêché, dit métropolitain. Elles sont regroupées en primatie et forme ce que l’on appel une zone « géodogmatique » placées sous l'autorité d'un Primat. En général les provinces religieuses suivent des frontières des comtés temporels.
En mille quatre-cent cinquante-cinq, on compte comme zone géodogmatique :
La primatie du royaume de France.
La primatie du Saint Empire Romaine de la Nation Germanique.
La primatie d’Angleterre et d’Ecosse.
La primatie du Grand-Duché de Bretagne.
La primatie de la Couronne d'Aragon.
Les Evêques
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Lorsqu’on emploie le terme « évêque » seul, il regroupe sans distinctions tous détenteurs d’un pouvoir épiscopal, qu’ils soient évêques ou archevêques.
A) Définition générale
- A.1 : Dans l'Eglise, après le Souverain Pontife et les cardinaux, viennent les évêques.
- A.2 : L'évêque est un clerc choisi par le Pape ou par ses pairs, avec le consentement du Pape, pour diriger un diocèse.
Il ne peut y avoir qu'un seul évêque pour diriger une province ecclésiastique et/ou un diocèse. - A.3 : On distincte 2 catégories d'évêque : ceux en fonction et ceux en titre distinctif.
Un évêque en fonction est soit archevêque métropolitain, soit archevêque suffragant, soit évêque suffragant soit évêque « in partibus » selon le statut du diocèse auquel il est lié. Ces distinctions ne sont pas des distinctions de nature mais de dignité et d'honneur.
Le titre d’évêque est donc, soit un titre honorifique, soit un titre distinctif. L’évêque doit être clerc au moment où il reçoit son titre, qu’il soit distinctif ou honorifique. - A.4 : Chaque évêque est libre de gouverner son diocèse comme il l'entend, sous réserve qu'il respecte les prescriptions de l'Eglise. Cette autonomie de gouvernement ne le dispense pas de travailler en commun avec les autres évêques et son archevêque métropolitain dans le cadre de sa province ecclésiastique.
- A.5 : Chaque évêque est relié aux assemblées épiscopales des royaumes où il exerce une autorité en temps qu'évêque.
Les évêques in partibus pourront rejoindre l'assemblée du royaume de leur résidence principale.
Les évêques émérites sont des évêques ayant assumé leur charge d’évêque de façon correcte et régulière plus de 3 mois, ils portent ce titre de droit pour 2 mois, mais les assemblées épiscopales peuvent réglementer leurs droits dans leurs assemblées.
B) Droits et devoirs
- B.1 : La mission de l’évêque
La première mission d’un évêque est de veiller à ce que chaque paroisse soit pourvue au moins de façon Res Parendo (RP) mais aussi en In Gratebus (IG).
Il devra assurer l’aristotélisation des paroisses et terres sous sa juridiction et veiller à composer son conseil diocésain avec des théologiens actifs et compétents.
Il est en charge de nommer et révoquer les membres de son conseil et de s’assurer qu’ils remplissent leur mission.
Il est en charge de nommer et révoquer les curés de ses paroisses, et de s’assurer qu’ils remplissent leur mission.
Il est en charge de faire nommer les chapelains aux chapelles des fiefs sous sa juridiction à la demande de la noblesse, et de nommer des aumôniers pour les organisations laïques et militaires (en dehors des Ordres religieux militaires et civils reconnus par Rome).
En cas de trouble ou de tout autre événement anormal survenant dans sa zone d’influence, il a le devoir d’en référer à son assemblée. - B.2 : Les Sacrements
Il peut octroyer tous les sacrements de l’Eglise aristotélicienne dans le respect du Droit Canon romain. Il peut ajouter des règles restrictives au droit réglementant les sacrements, mais doit le faire de façon claire et demander l’avis de la congrégation du Saint Office. Les évêques peuvent demander l’excommunication, le défroquage, ou l’annulation d’un sacrement à Rome mais ne peuvent le valider par eux-même. - B.3 : La révocation
Seul la primatie dont dépend l’évêque peut le révoquer ou le muter. Toutefois, en cas exceptionnel et pour faute dogmatique ou canonique grave, la Curie pourra exiger sa révocation à sa primatie. - B.4 : Du cumul
Evêque en fonction est une charge principale, il ne peut donc cumuler avec d’autres charges principales. Evèque en titre est soit honorifique soit distinctif est n’est pas soumis aux règles de cumul.
C) Les évêques en fonction
- Archevêque métropolitain
La cause matérielle = Il doit être ordonné et théologien de l’Eglise.
La cause efficiente = Il est élu par l’assemblée épiscopale dont le diocèse dépend.
La cause formelle = Il est intronisé par deux de ses pairs avec l’accord du Pape.
La cause finale = Il est membre à part entière des assemblées épiscopales dont une des paroisses au moins est sous sa juridiction.
Il dirige une Province ecclésiastique et généralement un diocèse. - Evêque et archevêque suffragant
La cause matérielle = Il doit être ordonné et théologien de l’Eglise.
La cause efficiente = Il est élu par l’assemblée épiscopale dont le diocèse dépend.
La cause formelle = Il est intronisé par deux de ses pairs avec l’accord du Pape.
La cause finale = Il est membre à part entière des assemblées épiscopales dont une des paroisses au moins est sous sa juridiction. Il dirige un diocèse. - Evêque Primat
La cause matérielle = Il doit être avoir été évêque de façon correcte et régulière plus de 3 mois.
La cause efficiente = Il est désigné par son assemblé selon les règles établies par cette assemblée.
La cause formelle = Il est intronisé par le camerlingue ou l’archidiacre de Rome.
La cause finale = L’évêque Primat est, au nom de son assemblée, le supérieur hiérarchique directe de tout les évêques dépendant de sa primatie.
Dans l’hypothèse où le primat prend ses décisions seul, le concile épiscopal a la faculté de le dénoncer a posteriori, et de substituer à la décrétale du primat la sienne propre, sur demande d’un de ses membres.
Le primat garde ses responsabilités au niveau de sa province ou de son diocèse. - Evêque Vice-Primat
La cause matérielle = Il doit être évêque au moment de sa nomination
La cause efficiente = Il est désigné par l'évêque primat selon les règles établies par son assemblée.
La cause formelle = Il est intronisé par le primat.
La cause finale = Il seconde le Primat
L’évêque vice-primat, en cas d'absence ou d'incapacité du Primat, le supplée avec tous les pouvoirs juridiques et de représentation, siège ou vote jusqu'à résolution de l'incapacité du Primat.
Le vice-primat garde ses responsabilités au niveau de sa province ou de son diocèse. - Evêque émérite
La cause matérielle = Il doit être avoir été évêque (autre qu’émérite) de façon correcte et régulière plus de 3 mois.
La cause efficiente = Il l’est automatiquement pour une période de 2 mois.
La cause formelle = Il est confirmé par l’assemblée dont il faisait partie.
La cause finale = Il est membre de droit de l’assemblée épiscopale où se trouve sa résidence principale.
Le titre d’émérite est un titre transitoire et honorifique, il a pour but de permettre la transition lors d’une mutation ou d’un déménagement. - Evêque In Partibus
La cause matérielle = il doit être un prêtre particulièrement méritant et exemplaire, et avoir participé à l'édification de l'Eglise.
La cause efficiente = il est nommé par la curie ou le pape, mais il peut être proposé par une assemblée épiscopale.
La cause formelle = il est intronisé par le camerlingue, l’archidiacre de Rome ou le primat de l'assemblée épiscopale dont il dépend.
La cause finale = il peut être membre à part entière de l’assemblée épiscopale où se trouve sa résidence principale sous réserve de l'acceptation du primat et des évêques de l'assemblée épiscopale concernée.
L’évêque in partibus ne perd ce titre que s’il prend la direction d’un diocèse ou un archidiocèse sur lequel son autorité épiscopale est effective. En dehors de cette perte automatique du titre, seule la mort ou la Curie peut retirer ou changer le titre d’In Partibus.
Les adjoints
- Le premier archidiacre ou vicaire général
Le Vicaire Général [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Le Premier Archidiacre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
La cause matérielle = Il doit être fidèle de l’Eglise. S’il est prêtre il devient vicaire général. Il ne peut y avoir qu'un vicaire général ou un premier archidiacre par province ecclésiastique
La cause efficiente = Il est nommé par l’archevêque métropolitain.
La cause formelle = Il est intronisé par l’archevêque métropolitain.
La cause finale = Il a la charge d’aider l’archevêque de façon représentative pour la gestion de la province.
A part l'ordination, le vicaire général et le premier archidiacre peuvent célébrer et octroyer tous les sacrements aristotéliciens dans le respect du Droit Canon dans leur province. - Archidiacre ou vicaire diocésain
Le Vicaire diocésain [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
L’Archidiacre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
La cause matérielle = Il doit être fidèle de l’Eglise. S’il est prêtre il devient vicaire diocésain. Il ne peut y avoir qu'un vicaire diocésain ou un archidiacre par diocèse ou archidiocèse.
La cause efficiente = Il est nommé par un évêque.
La cause formelle = Il est intronisé par l'évêque qui le nomme.
La cause finale = Il a la charge d’aider son évêque (ou archevêque) de façon représentative pour la gestion du diocèse.
A part l'ordination, le vicaire diocésain et l'archidiacre peuvent célébrer et octroyer tous les sacrements aristotéliciens dans le respect du Droit Canon dans leur diocèse. - Les chapitrains.
La cause matérielle = Il doit être fidèle de l’Église.
La cause efficiente = Il est nommé par l'évêque de son diocèse ou de sa province.
La cause formelle = Il est intronisé par l'évêque de son diocèse ou de sa province.
La cause finale = Il a la charge d’aider son évêque de façon représentative dans une mission précise.
L’évêque peut nommer autant de chapitrains qu'il lui semble nécessaire, mais ceux-ci sont liés directement à son autorité et seront mandatés par lui pour une mission précise.
Ils sont équivalant à des chanoines, mais ne peuvent bénéficier d'un bureau In Gratebus (IG) personnel dans la cathédrale.
Exceptionnellement dans le cas où il n’y a pas d’évêques ou si l’évêque venait à disparaître ils peuvent se voir attribuer un évêque de tutelle par l’assemblé épiscopale.
Un chapitrain, sans autorité épiscopale directe supérieur, doit, avant d’agir au nom de l’Eglise, toujours en référer à son primat.
Au niveau du cumul, la charge de chapitrain est considérée comme tertiaire. - Les Chanoines :
(On ferra une partie séparée plus complète pour les chanoines quand nous en sauront plus au niveau des prévisions de codage)
Chanoine (membre du Conseil diocésain)
La cause matérielle = Il doit être fidèle de l’Eglise et théologien de l’Eglise aristotélicienne (niveau 3 voie de l’Eglise).
La cause efficiente = Il est nommé par l'évêque du diocèse.
La cause formelle = Il est intronisé par l'évêque du diocèse.
La cause finale = Il a la charge d’aider son évêque de façon représentative In Gratebus (IG) et pour la gestion du diocèse ou de la province.
Il existe diffrentes charges au sein du conseil diocésain :
Le consultant en religion (province)
Le responsable des diocèses (archidiocèse)
Le responsable du trésor (diocèse)
Le responsable de la doctrine (diocèse)
Le responsable des curés (diocèse)
Le teckel à poil Raz (diocèse)
aurelien87- Nombre de messages : 382
Date d'inscription : 10/08/2012
Re: Livre 2 : L'Eglise séculière
Le clergé paroissial
La paroisse religieuse est, en premier lieu, une subdivision géographique dans un diocèse.
Dans l’église aristotélicienne la paroisse désigne à la fois une aire géographique précise, le « territoire de la paroisse », et un groupe de personnes habitant sur ce territoire et constituant la communauté paroissiale.
Le mot provient du latin parochia utilisé par les premières communautés aristotélicienne pour désigner le territoire d'une cité épiscopale. Au Ve s., il est déjà très proche de son sens actuel puisqu'il s'applique aux territoires et communautés existant en dehors du siège épiscopal.
Il est donc possible de faire partie de plusieurs paroisse, mais niveau administratif on dépend directement de la paroisse communale de sa résidence principale (hrp : celle visible sur le profil)
Il existe 3 sortes de paroisses qui toutes dépendent d’un évêque qui est donc le supérieur religieux direct du responsable de la paroisse.
Un clerc pourra s’occuper de plusieurs paroisses, mais il devra y être intronisé par le même évêque, en effet un clerc responsable de paroisse ne peut pas dépendre de plusieurs évêques. Cela est valable pour les diacres et vicaires responsable de paroisse mais aussi pour les aides, car il sont indirectement sous l'autorité du même évêque que leur supérieur directe.
Un curé, diacre, vicaire, aumônier ou chapelain ne peut célébrer de sacrements en dehors d'une paroisse où il est intronisé sans l’autorisation de son évêque ET du responsable de la paroisse en question.
1) La paroisse communale ou citadine.
La paroisse communale est obligatoirement une ville ou un village ouvert, référencé comme paroisse et comportant une église, une mairie, des résidences et un marché.
L'église dite paroissiale est le lieu de rassemblement de la communauté devant laquelle le curé et ses assistants célèbrent différentes cérémonies telles que les deux messes hebdomadaires.
La paroisse communale ne peut avoir que 3 responsables reconnus comme tel.
La paroisse communale peu avoir à sa tête un Curé, un vicaire ou un diacre.
Le responsable de la paroisse peut avoir 2 aides, soit diacre ou soit vicaire.
Les aides supplémentaires tel que acolyte, bedeau, sacristain ne sont pas considérés comme clercs et même si il faut l’accord de l’évêque pour en nommer ils sont sous la responsabilité directe du responsable paroissial qui les a nommés.
Le curé, et uniquement lui, peut confesser dans l’église paroissiale (limitation IG oblige)
Il pourra nommer 3 confesseurs en Dieu (In God) qui pourront entendre la confession des fidèles mais ne pourront donner l’absolution qu’en respect du droit canon.
2) Paroisse nobiliaire (fief)
La paroisse nobiliaire est obligatoirement un domaine, référencé comme fief et comportant une chapelle et au moins une résidence.
La paroisse nobiliaire doit se faire rattacher à un diocèse, de préférence proche géographiquement parlant, mais le noble propriétaire de la paroisse nobiliaire pourra choisir son évêque, en accord avec celui-ci, parmi les évêques nationaux, cardinaux inclus. Toutefois un même prélat ne devra pas avoir à sa charge plus de fiefs qu’il ne peut honnêtement en gérer.
La chapelle est le lieu de rassemblement des propriétaires et de leurs invités devant laquelle le chapelain et ses assistants célèbrent différentes cérémonies.
La Paroisse nobiliaire ne peut avoir que 1 responsable reconnu comme tel.
La Paroisse nobiliaire peut avoir à sa tête un chapelain ordonné ou pas.
Les aides supplémentaires tel que acolyte, bedeau, sacristain ne sont pas considérés comme clercs. Ils sont sous la responsabilité directe du chapelain et ne peuvent exercer que sur le territoire de la Paroisse nobiliaire.
chapelain
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ou [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
La cause matérielle = il doit être fidèle de l’Eglise et il est accrédité par la congrégation de la diffusion de la foi.
La cause efficiente = il est engagé par un fidèle de la noblesse.
La cause formelle = il est intronisé et sous l’autorité de l’évêque du diocèse dont dépend le fief.
Selon le sexe s’il est laïc on dira Frère ou /sœur chapelain, si il est prêtre ; père ou mère chapelain
La cause finale =
Il a la charge représentative de la gestion religieuse du, ou des fiefs où il est nommé. (les fiefs doivent dépendre du même évêque).
Il peut célébrer tout les sacrements aristotélicien hormis l’ordination.
Il ne peut nommer de confesseurs ni aucun membre du clergé paroissial, il dépend directement de l’évêque qui l'a nommé.
Cumul : Chapelain est une charge secondaire liée donc aux règles de cumul.
Il peut cumuler avec une d’autres charges secondaire ou primaire dans le clergé séculier mais uniquement si cette charge dépend du même évêque.
Un cardinal ou un évêque in partibus pourra toutefois être chapelain.
[/list]
3) paroisse communautaire.
Dans certains cas des communautés, des associations, des confréries voir des guildes ou des groupements militaires peuvent avoir besoin dans leur rang d’un guide religieux.
Ces corporations doivent se présenter à l’évêque de leur région qui pourra leur attribuer un responsable religieux portant alors le titre d’aumônier.
Paroisse communautaire à vocation nationale.
Si la communauté a vocation d'être nationale elle dépendra directement du primat ou si il y en a un du clerc responsable des aumoneries.
La paroisse religieuse est, en premier lieu, une subdivision géographique dans un diocèse.
Dans l’église aristotélicienne la paroisse désigne à la fois une aire géographique précise, le « territoire de la paroisse », et un groupe de personnes habitant sur ce territoire et constituant la communauté paroissiale.
Le mot provient du latin parochia utilisé par les premières communautés aristotélicienne pour désigner le territoire d'une cité épiscopale. Au Ve s., il est déjà très proche de son sens actuel puisqu'il s'applique aux territoires et communautés existant en dehors du siège épiscopal.
Il est donc possible de faire partie de plusieurs paroisse, mais niveau administratif on dépend directement de la paroisse communale de sa résidence principale (hrp : celle visible sur le profil)
Il existe 3 sortes de paroisses qui toutes dépendent d’un évêque qui est donc le supérieur religieux direct du responsable de la paroisse.
Un clerc pourra s’occuper de plusieurs paroisses, mais il devra y être intronisé par le même évêque, en effet un clerc responsable de paroisse ne peut pas dépendre de plusieurs évêques. Cela est valable pour les diacres et vicaires responsable de paroisse mais aussi pour les aides, car il sont indirectement sous l'autorité du même évêque que leur supérieur directe.
Un curé, diacre, vicaire, aumônier ou chapelain ne peut célébrer de sacrements en dehors d'une paroisse où il est intronisé sans l’autorisation de son évêque ET du responsable de la paroisse en question.
1) La paroisse communale ou citadine.
La paroisse communale est obligatoirement une ville ou un village ouvert, référencé comme paroisse et comportant une église, une mairie, des résidences et un marché.
L'église dite paroissiale est le lieu de rassemblement de la communauté devant laquelle le curé et ses assistants célèbrent différentes cérémonies telles que les deux messes hebdomadaires.
La paroisse communale ne peut avoir que 3 responsables reconnus comme tel.
La paroisse communale peu avoir à sa tête un Curé, un vicaire ou un diacre.
Le responsable de la paroisse peut avoir 2 aides, soit diacre ou soit vicaire.
Les aides supplémentaires tel que acolyte, bedeau, sacristain ne sont pas considérés comme clercs et même si il faut l’accord de l’évêque pour en nommer ils sont sous la responsabilité directe du responsable paroissial qui les a nommés.
Le curé, et uniquement lui, peut confesser dans l’église paroissiale (limitation IG oblige)
Il pourra nommer 3 confesseurs en Dieu (In God) qui pourront entendre la confession des fidèles mais ne pourront donner l’absolution qu’en respect du droit canon.
- Curé
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
La cause matérielle = il doit être prêtre et théologien de l’Eglise aristotélicienne (N3VE).
La cause efficiente = il est nommé par l’archevêque ou l’évêque dont la paroisse communale ou citadine où il est nommé dépend.
La cause formelle = il est intronisé par l’archevêque ou l’évêque dont la paroisse où il est nommé dépend.
La cause finale = Le Curé peut célébrer tout les sacrements aristotélicien hormis l’ordination.
Il a en charge représentative et en Dieu (In God) la gestion religieuse, économique et administrative de sa paroisse.
Il peut nommer deux clercs pour l’aider en temps que vicaire ou diacre, et autant d’acolytes qu’il le désire pour autant qu’il aie l’accord de son évêque.
Il pourra nommer 3 Confesseurs paroissiaux en Dieu. (non encore codé)
Cumul : Curé est une charge principale, il ne peut donc cumuler avec d’autre charge principale. - Diacre et vicaire
diacre [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
vicaire[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
La cause matérielle = il doit être fidèle de l’Église, s'il est ordonné le diacre porte le nom de vicaire.
La cause efficiente = il est nommé par le curé de sa paroisse avec l’accord de son évêque (ou archevêque).
La cause formelle = il est intronisé par le curé de sa paroisse ou par son évêque (ou archevêque).
La cause finale = Il a en charge représentative la gestion religieuse de la paroisse où il est nommé.
Les diacres et les vicaires peuvent célébrer tout les sacrements aristotéliciens hormis l’ordination.
Ils ne peuvent nommer de confesseurs ni aucun membre du clergé paroissial, ils dépendent directement du curé paroissial ou à défaut de l’évêque.
Cumul : Diacre ou vicaire sont des charges secondaires liées donc aux règles de cumul.
Ils peuvent cumuler avec une d’autres charges secondaires ou primaires dans le clergé séculier mais uniquement si cette charge dépend du même évêque.
Un cardinal ou un évêque in partibus pourra toutefois être vicaire. - Sacristain (faisant Office de curé).
La cause matérielle = il doit être baptisé et théologien de l’Église aristotélicienne (N3VE).
La cause efficiente = il est nommé par l’archevêque ou l’évêque dont la paroisse communale ou citadine où il est nommé dépend.
La cause formelle = il est intronisé par l’archevêque ou l’évêque dont la paroisse où il est nommé dépend.
La cause finale =Il faut autant que possible éviter les sacristains comme charge fixe, et ne les utiliser que pour compenser à un manque réel de curé.
Le sacristain s'occupe de la sacristie et prépare donc l'office In God pour l'officiant.
Il existe deux types de Sacristain : les simples fidèles et les diacres.
a) Les simples fidèles.
S’il est simple fidèle, il n'est pas être considéré comme un clerc et ne peut pas se revendiquer comme tel. Toute fois en public il devra agir en bon aristotélicien et ne pas déshonorer la charge de quelque manière que ce soit, sous peine d’excommunication.
Il devra rediriger les demandes de sacrement vers un clerc pouvant s’en charger.
b) Les diacres ou vicaire.
S’il est diacre en plus de la fonction de Sacristain, il garde le titre de Diacre et tout ce qui s’y rattache.
Si c'est un vicaire qui prend la place, il devient curé pour le temps de la nomination.
cumul : tant qu'il est sacristain, le clerc est soumi au même interdictions de cumul que le curé, c'est donc une charge principale.
Note : Le Sacristain devra expliquer son statut par une affiche bien visible à l’entrée de l’église. - Les acolytes
La cause matérielle = il doit être fidèle de l’Église.
La cause efficiente = il est nommé par le curé de sa paroisse avec l’accord de son évêque (ou archevêque).
La cause formelle = il est engagé par le curé de sa paroisse ou par son évêque (ou archevêque).
La cause finale = Il reçoit une mission précise de son supérieur, c’est généralement un fidèle désirant s’instruire religieusement pour devenir diacre ou vicaire par la suite.
Selon sa mission il porte un nom différent tel que sacristain , bedeau, messager, intendant etc...
Ils ne sont pas considérés comme des clercs et sont sous la responsabilité directe de celui qui les nomme.
Cumul : n’étant pas clercs par leur fonction d’acolyte il ne sont liés à aucune interdiction de cumul. - Confesseur paroissial devant Dieu
La cause matérielle = il doit être théologien de l'Eglise.
La cause efficiente = il est nommé par le curé de sa paroisse.
La cause formelle = il est intronisé par le curé de sa paroisse.
La cause finale = Il a en charge les confession en Dieu de la paroisse où il est nommé. Il ne pourra donner l'absolution représentative que si il est prêtre.
Cumul : n’étant pas clercs par leur fonction de confesseur en Dieu (IG), ils ne sont liés à aucune interdiction de cumul.
2) Paroisse nobiliaire (fief)
La paroisse nobiliaire est obligatoirement un domaine, référencé comme fief et comportant une chapelle et au moins une résidence.
La paroisse nobiliaire doit se faire rattacher à un diocèse, de préférence proche géographiquement parlant, mais le noble propriétaire de la paroisse nobiliaire pourra choisir son évêque, en accord avec celui-ci, parmi les évêques nationaux, cardinaux inclus. Toutefois un même prélat ne devra pas avoir à sa charge plus de fiefs qu’il ne peut honnêtement en gérer.
La chapelle est le lieu de rassemblement des propriétaires et de leurs invités devant laquelle le chapelain et ses assistants célèbrent différentes cérémonies.
La Paroisse nobiliaire ne peut avoir que 1 responsable reconnu comme tel.
La Paroisse nobiliaire peut avoir à sa tête un chapelain ordonné ou pas.
Les aides supplémentaires tel que acolyte, bedeau, sacristain ne sont pas considérés comme clercs. Ils sont sous la responsabilité directe du chapelain et ne peuvent exercer que sur le territoire de la Paroisse nobiliaire.
chapelain
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ou [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
La cause matérielle = il doit être fidèle de l’Eglise et il est accrédité par la congrégation de la diffusion de la foi.
La cause efficiente = il est engagé par un fidèle de la noblesse.
La cause formelle = il est intronisé et sous l’autorité de l’évêque du diocèse dont dépend le fief.
Selon le sexe s’il est laïc on dira Frère ou /sœur chapelain, si il est prêtre ; père ou mère chapelain
La cause finale =
Il a la charge représentative de la gestion religieuse du, ou des fiefs où il est nommé. (les fiefs doivent dépendre du même évêque).
Il peut célébrer tout les sacrements aristotélicien hormis l’ordination.
Il ne peut nommer de confesseurs ni aucun membre du clergé paroissial, il dépend directement de l’évêque qui l'a nommé.
Cumul : Chapelain est une charge secondaire liée donc aux règles de cumul.
Il peut cumuler avec une d’autres charges secondaire ou primaire dans le clergé séculier mais uniquement si cette charge dépend du même évêque.
Un cardinal ou un évêque in partibus pourra toutefois être chapelain.
[/list]
3) paroisse communautaire.
Dans certains cas des communautés, des associations, des confréries voir des guildes ou des groupements militaires peuvent avoir besoin dans leur rang d’un guide religieux.
Ces corporations doivent se présenter à l’évêque de leur région qui pourra leur attribuer un responsable religieux portant alors le titre d’aumônier.
- Aumônier (hors OMR )
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] ou [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
La cause matérielle = il doit être fidèle de l’Eglise et il est accrédité par la congrégation de la diffusion de la foi.
La cause efficiente = il est engagé par un groupement laïc, militaire ou civil.
La cause formelle = elle dépend du groupement où l’aumônier est intronisé et est définie par la congrégation de la diffusion de la foi.
Selon le sexe s’il est laïc on dira Frère ou /sœur chapelain, si il est prêtre ; père ou mère chapelain
La cause finale = Il a la charge représentative de la gestion religieuse du groupement où il est nommé.
Il peut célébrer tout les sacrements aristotélicien hormis l’ordination.
Il ne peut nommer de confesseurs ni aucun membre du clergé paroissial, Il dépend administrativement de la congrégation de la foi.
Cumul : Aumônier est une charge secondaire liée donc aux règles de cumul.
Il peut cumuler avec une d’autres charges secondaire ou primaire dans le clergé séculier mais uniquement si cette charge dépend du même évêque.
Un cardinal ou un évêque in partibus pourra toutefois être aumônier.
Paroisse communautaire à vocation nationale.
Si la communauté a vocation d'être nationale elle dépendra directement du primat ou si il y en a un du clerc responsable des aumoneries.
aurelien87- Nombre de messages : 382
Date d'inscription : 10/08/2012
Re: Livre 2 : L'Eglise séculière
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
........[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Regimini secularis ecclesiae
Bulle pontificale « Pour le gouvernement de l'Eglise séculière ».
Livre 2 : L'épiscopat, le sacerdoce et les circonscriptions religieuses
L'Apostolat
Partie I : Les provinces et les diocèses
Article 1 : Le diocèse est une circonscription religieuse dont les fidèles sont confiés à un évêque, héritier de la tradition épiscopale en tant que successeur des apôtres, pour qu'il en soit le guide religieux avec l’aide et la coopération de ses clercs.
Article 2 : Le diocèse est subdivisé en paroisses dont le nombre varie selon les diocèses.
Article 3 : Les diocèses sont regroupés en province ecclésiastique sous l’autorité d’un archevêque métropolitain.
Article 4 : Les provinces ecclésiastiques relevant d'un même pouvoir temporel souverain sont regroupées en primatie et placées sous l'autorité d'un primat lorsque leur nombre est d'au minimum 2 et qu'elles totalisent ensemble au moins 4 diocèses.- Article 4.1 : Une primatie est dirigée par une assemblée épiscopale constituée au minimum les archevêques métropolitains relevant de celle-ci , et a comme pouvoir la nomination et la révocation des évêques de son territoire.
- Article 4.2 : Chaque primatie est dotée de statuts qui lui sont propres, approuvés par le Sacré Collège.
- Article 4.3 : Les zones linguistiques ne pouvant prétendre au statut de primatie sont érigées en vice-primatie, rattachée à une primatie existante ou dirigée par un prélat plénipotentiaire nommé par le Sacré Collège.
- Article 4.4 : La Curie peut également rattacher provisoirement une province religieuses à une Primatie proche, ou réunir provisoirement plusieurs provinces religieuses en une seule Primatie.
- Article 4.5 : La Curie peut diviser une Primatie en plusieurs vice-primaties afin d'en faciliter le fonctionnement. Ces vice-primaties fonctionnent alors exactement comme des primaties.
Partie II : L’épiscopat
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Lorsqu’on emploie le terme « évêque », il évoque, sans distinctions, tout détenteur d’un pouvoir épiscopal, qu’il soit évêque ou archevêque.
Article 1 : Au sein de l'Eglise, après le Souverain Pontife et les cardinaux, viennent les évêques.
Article 2 : L'évêque est un clerc choisi par le Pape, ou par ses pairs avec le consentement du Pape, pour diriger un diocèse, et révocable discrétionnairement par ces mêmes personnes.
Article 3 : Il ne peut y avoir qu'un seul évêque en fonction à la tête d’un diocèse.
Article 4 : On distingue 2 dignités épiscopales : les évêques en fonction et les évêques honorés.
Article 5 : Un évêque en fonction est soit archevêque métropolitain, soit archevêque suffragant, soit évêque suffragant selon le statut du diocèse auquel il est lié. Ces distinctions ne sont pas des distinctions de nature mais d'honneur.
Article 6 : L’évêque gouverne son diocèse dans les limites édictées par son assemblée épiscopale, le Droit Canon de l’Eglise et les doctrines et prescriptions édictées par Elle.- Article 6.1 : L’évêque nomme et révoque les membres de son conseil diocésain.
- Article 6.2 : L’évêque pourvoit à la vacance des cures Res Parendo et In Gratebus, nomme et révoque les curés des paroisses sous sa juridiction.
- Article 6.3 : L’évêque nomme et révoque les chapelains des chapelles nobiliaires sous sa juridiction à la demande de la noblesse ou à discrétion.
- Article 6.4 : L’évêque nomme et révoque les aumôniers des organisations laïques et militaires, exceptés les Ordres militaires et religieux reconnus par Rome, enregistrés auprès de son diocèse.
- Article 6.5 : L’évêque est en droit de proposer des avis d’excommunication, de défroquage, ou d’annulation de sacrement auprès du Consistoire Pontificale compétent.
- Article 6.6 : L’évêque est en droit d’ajouter des règles restrictives à l’octroi des sacrements sous acceptation de la congrégation du Saint Office.
Article 7 : Les évêques émérites sont des évêques honorés ayant assumé leur charge d’évêque de façon correcte et régulière plus de 3 mois, ils portent ce titre de droit pour 2 mois. Les assemblées épiscopales peuvent réglementer leurs droits au sein de leurs assemblées. Ils n’ont plus d’autorité au sein de leur diocèse.
Article 8 : Les évêques in partibus sont nommés par le Sacré Collège au nom du Souverain Pontife sur proposition éventuelle d’une l’assemblée épiscopale. Ils intègrent l’assemblée épiscopale de la primatie en laquelle ils résident.
Article 9 : La dignité épiscopale est octroyée à certains clercs de statut élevé, comme les recteurs d'ordre religieux, les grand-maîtres d'ordres militaires et religieux, les abbés de monastère In Gratebus et les préfets de congrégations.
Partie III : Les charges épiscopales et diocésaines
Article 1 : Archevêque métropolitain – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être ordonné et théologien de l’Eglise.
La cause efficiente = Il est élu par l’assemblée épiscopale dont le diocèse dépend.
La cause formelle = Il est intronisé par deux de ses pairs avec l’accord du Pape.
La cause finale = Il est membre à part entière des assemblées épiscopales dont une des paroisses au moins est sous sa juridiction. Il dirige une Province ecclésiastique et généralement un diocèse.
Article 2 : Evêque et archevêque suffragant – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être ordonné et théologien de l’Eglise.
La cause efficiente = Il est élu par l’assemblée épiscopale dont le diocèse dépend.
La cause formelle = Il est intronisé par deux de ses pairs avec l’accord du Pape.
La cause finale = Il est membre à part entière des assemblées épiscopales dont une des paroisses au moins est sous sa juridiction, sauf si les statuts internes de ces assemblées en restreignent l'accès au seuls métropolitains. Il dirige un diocèse.
Article 3 : Evêque Primat – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit avoir été évêque de façon correcte et régulière plus de 3 mois.
La cause efficiente = Il est désigné par son assemblé selon les règles établies par cette assemblée.
La cause formelle = Il est intronisé par le camerlingue ou l’archidiacre de Rome.
La cause finale = L’évêque Primat est, au nom de son assemblée, le supérieur hiérarchique direct de tous les évêques dépendant de sa primatie.- Article 3.1 : Dans l’hypothèse où le primat prend ses décisions seul, le concile épiscopal a la faculté de le dénoncer a posteriori, et de substituer à la décrétale du primat la sienne propre, sur demande d’un de ses membres.
- Article 3.2 : Le primat garde ses responsabilités au niveau de sa province ou de son diocèse.
Article 4 : Evêque Vice-Primat – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être évêque au moment de sa nomination
La cause efficiente = Il est désigné par l'évêque primat selon les règles établies par son assemblée.
La cause formelle = Il est intronisé par le primat.
La cause finale = Il seconde le Primat- Article 4.1 : L’évêque vice-primat, en cas d'absence ou d'incapacité du Primat, le supplée avec tous les pouvoirs juridiques et de représentation, siège ou vote jusqu'à résolution de l'incapacité du Primat.
- Article 4.2 : Le vice-primat garde ses responsabilités au niveau de sa province ou de son diocèse.
Article 5 : Evêque émérite – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être avoir été évêque (autre qu’émérite) de façon correcte et régulière plus de 3 mois.
La cause efficiente = Il l’est automatiquement pour une période de 2 mois.
La cause formelle = Il est confirmé par l’assemblée dont il faisait partie.
La cause finale = Il est membre de droit de l’assemblée épiscopale où se trouve sa résidence principale.- Article 5.1 : Le titre d’émérite est un titre transitoire et honorifique, il a pour but de permettre la transition lors d’une mutation ou d’un déménagement.
Article 6 : Evêque In Partibus – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être un prêtre particulièrement méritant et exemplaire, et avoir participé à l'édification de l'Eglise.
La cause efficiente = Il est nommé par la curie ou le pape, mais il peut être proposé par une assemblée épiscopale.
La cause formelle = Il est intronisé par le camerlingue, l’archidiacre de Rome ou le primat de l'assemblée épiscopale dont il dépend.
La cause finale = Il peut être membre à part entière de l’assemblée épiscopale où se trouve sa résidence principale sous réserve de l'acceptation du primat et des évêques de l'assemblée épiscopale concernée.- Article 6.1 : L’évêque In Partibus ne perd ce titre que s’il prend la direction d’un diocèse ou un archidiocèse sur lequel son autorité épiscopale est effective. En dehors de cette perte automatique du titre, seule la mort ou la Curie peut retirer ou changer le titre d’In Partibus.
Article 7 : Le Vicaire Général – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être prêtre. A défaut de Premier Archidiacre, il ne peut y avoir qu'un vicaire général par province ecclésiastique.
La cause efficiente = Il est nommé par son archevêque métropolitain.
La cause formelle = Il est intronisé par son archevêque métropolitain.
La cause finale = Il a la charge d’aider et de suppléer son archevêque dans la gestion de la province.- Article 7.1 : Le médaillon d’Aristote est d’or et de sinople.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Article 8 : Le Premier Archidiacre – le quadriptyque causal :
- La cause matérielle = Il doit être fidèle de l’Eglise. A défaut de Vicaire Général, il ne peut y avoir qu’un Premier Archidiacre par province ecclésiastique.
- La cause efficiente = Il est nommé par son archevêque métropolitain.
- La cause formelle = Il est intronisé par son archevêque métropolitain.
- La cause finale = Il a la charge d’aider et de suppléer son archevêque dans la gestion de la province.- Article 8.1 : Le médaillon d’Aristote est d’argent et de sinople.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Article 9 : Le Vicaire diocésain – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être prêtre. A défaut d’Archidiacre, il ne peut y avoir qu'un vicaire diocésain par diocèse ou archidiocèse.
La cause efficiente = Il est nommé par son évêque.
La cause formelle = Il est intronisé par l'évêque qui le nomme.
La cause finale = Il a la charge d’aider et suppléer son évêque dans la gestion du diocèse.- Article 9.1 : Le médaillon d’Aristote est d’or et de sinople.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Article 10 : L’Archidiacre – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être fidèle de l’Eglise. A défaut de Vicaire Diocésain, il ne peut y avoir qu'un archidiacre par diocèse ou archidiocèse.
La cause efficiente = Il est nommé par son évêque.
La cause formelle = Il est intronisé par l'évêque qui le nomme.
La cause finale = Il a la charge d’aider et suppléer son évêque dans la gestion du diocèse.- Article 10.1 : Le médaillon d’Aristote est d’argent et de sinople.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Article 11 : Le Chapitrain – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être fidèle de l’Église.
La cause efficiente = Il est nommé par l'évêque de son diocèse ou de sa province.
La cause formelle = Il est intronisé par l'évêque de son diocèse ou de sa province.
La cause finale = Il a la charge d’aider son évêque dans une mission déterminée par ce dernier.- Article 11.1 : Le nombre de Chapitrains par diocèse est laissé à la discrétion de l’évêque dans la mesure du raisonnable.
- Article 11.2 : Le Chapitrain bénéficie des mêmes privilèges Res Parendo que le Chanoine.
Article 12 : Le Chanoine – le quadriptyque causal :
La cause matérielle = Il doit être fidèle et théologien de l’Eglise aristotélicienne (niveau 3 voie de l’Eglise).
La cause efficiente = Il est nommé par l'évêque de son diocèse.
La cause formelle = Il est intronisé par l'évêque de son diocèse.
La cause finale = Il a la charge d’aider son évêque In Gratebus dans la gestion du diocèse ou de la province.- Article 12.1 : Le nombre de Chanoine est limité à 6 pour les archidiocèses métropolitains, 5 pour les archidiocèses suffragant et 4 pour les diocèses.
- Article 12.1 : Les fonctions des Chnoines sont déterminée par ce présent droit : consultant en religion – au niveau métropolitain seul, responsable des diocèses – au niveau métropolitain et archidiocésain, responsable du trésor, responsable de la doctrine, responsable des curés, teckel à poil Raz – à tous les niveaux.
Texte canonique sur le Clergé Séculier,
Donné et entériné à Rome par le Sacré-Collège sous le pontificat du Très Saint Père Eugène V le vingt-deux du mois juillet, le mercredi, de l'an de grâce MCDLVII, le jour de la Sainte Marie-Madeleine.
Première publication par feu Son Eminence Jeandalf le dix-huitième jour du mois d’août, le samedi, de l'an de grâce MCDLV, jour de la Sainte Hélène l'Apôtre ; revu et publié par Son Eminence Aaron de Nagan, Cardinal-Camerlingue, le onzième jour du mois de juillet, le vendredi, de l'an de grâce MCDLVI, jour de la Saint Benoît ; revu, amendé, et publié par le précédent le vingt-quatrième du mois de juillet, le vendredi, de l'an de grâce MCDLVII.
aurelien87- Nombre de messages : 382
Date d'inscription : 10/08/2012
Sujets similaires
» Livre d'or
» Livre Ier: Dialogues
» Livre 4 La justice d'Eglise
» Livre 5.3 Les Saintes Armées
» Livre 4 - La Justice d'Eglise
» Livre Ier: Dialogues
» Livre 4 La justice d'Eglise
» Livre 5.3 Les Saintes Armées
» Livre 4 - La Justice d'Eglise
Archevêché de Reims :: Bibliothèque Sainte-Geneviève :: La Bibliothèque :: Livre 4 : le Droit Canon :: Livre 2, 3 et 4 l'Eglise réguière, séculière, la justice
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum