1.6 sacrement: confession
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1.6 sacrement: confession
La confession des péchés
La confession des péchés (l’aveu),
La confession même d’un point de vue simplement humain, nous libère et facilite notre réconciliation avec les autres. Par l’aveu, le pécheur regarde en face les fautes dont il s’est rendu coupable ; il en assume la responsabilité et par là, il s’ouvre de nouveau aux autres.
S’il est croyant, il s’ouvre à son Créateur par l’intermédiaire du confesseur. Il retrouve la communion avec les Saints et la communauté des fidèles.
Le Très Haut jugera nos péchés ; si on s’accuse soi-même, on se joint au Créateur. L’humain et le pécheur sont pour ainsi dire deux réalités : quand tu entends parler de l’homme, c’est le Très Haut qui l’a fait ; quand tu entends parler du pécheur, c’est l’humanité qui en est la source depuis que les enfants de la Création ont découvert l’acédie.
Détruis ce que tu as fait contre la nature de l’humain, pour que Notre Créateur sauve l’âme qu’il a faite... Quand tu commences à détester ce que tu as fait, c’est qu’il n’y a pas de bien dans ce que tu as fait, et le mal est l’absence de bien.
Le commencement des œuvres bonnes, c’est la confession des œuvres mauvaises. Tu fais la vérité et tu viens à la Lumière.
La pénitence
Beaucoup de péchés causent du tort au prochain. Il faut faire le possible pour le réparer (par exemple restituer des choses volées, rétablir la réputation de celui qui a été calomnié, compenser des blessures). La simple justice exige cela. Mais en plus, le péché blesse et affaiblit le pécheur lui-même, ainsi que ses relations avec la Création et l’éloigne du Très Haut.. L’absolution enlève le péché, mais elle ne remédie pas à tous les désordres que le péché a causés.
Relevé du péché, le pécheur doit encore recouvrer la pleine santé spirituelle. Il doit donc faire quelque chose de plus pour réparer ses péchés : il doit " satisfaire " de manière appropriée ou " expier " ses péchés. Cette satisfaction s’appelle aussi " pénitence ".
La pénitence, que le confesseur impose, doit tenir compte de la situation personnelle du pénitent et doit chercher son bien spirituel. Elle doit correspondre autant que possible à la gravité et à la nature des péchés commis. Elle peut consister dans la prière, une offrande, dans les œuvres de miséricorde, le service du prochain, dans des privations volontaires, des sacrifices, et surtout dans l’acceptation patiente de la punition.
On accepte de souffrir car on a fait souffrir, mais il ne faut pas oublier que souffrir n’est pas une vertu.
La souffrance comme pénitence n’a de sens que si elle sert à nous rappeler combien si elle est pénible pour nous, elle le fut pour celui qui a été notre victime.
Oane a dit « ne cherchez pas Dieu dans la souffrance, mais souvenez vous d’avoir souffert pour ne pas le perdre. »
L’absolution ou la réconciliation.
Le fidèle qui a reconnu et confessé ses fautes, qui a réparé les torts causés, qui reconnaît qu’elles sont sources de mal et les abjure de toute son âme, celui là pourra recevoir l’absolution d’un confesseur et le Très Haut ne lui reprochera pas les actes absous justement. En revanche si le pécheur à triché avec lui-même pour obtenir le pardon il sera jugé doublement car il a blasphémé un sacrement.
L’absolution de l’Eglise libère l’âme du poids du péché, mais n’efface pas la temporalité de celle-ci si elle est connue et hors des loi des hommes.
Ainsi le conjoint qui commet l’adultère ne peut être déchargé temporellement de sa faute que si celui ou celle envers qui il l’a commis lui pardonne aussi. Ainsi le criminel ne serra pas déchargé de ses responsabilités envers la justice tant que la justice ne déclare pas en avoir fini avec lui.
En revanche nul ne pourra être poursuivi après avoir confessé ses fautes sur le seul fait de la confession, car si elle est faite en privé le confesseur est tenu au secret et est lié par le Très Haut à la garder secrète jusque et après la mort.
La confession des péchés (l’aveu),
La confession même d’un point de vue simplement humain, nous libère et facilite notre réconciliation avec les autres. Par l’aveu, le pécheur regarde en face les fautes dont il s’est rendu coupable ; il en assume la responsabilité et par là, il s’ouvre de nouveau aux autres.
S’il est croyant, il s’ouvre à son Créateur par l’intermédiaire du confesseur. Il retrouve la communion avec les Saints et la communauté des fidèles.
Le Très Haut jugera nos péchés ; si on s’accuse soi-même, on se joint au Créateur. L’humain et le pécheur sont pour ainsi dire deux réalités : quand tu entends parler de l’homme, c’est le Très Haut qui l’a fait ; quand tu entends parler du pécheur, c’est l’humanité qui en est la source depuis que les enfants de la Création ont découvert l’acédie.
Détruis ce que tu as fait contre la nature de l’humain, pour que Notre Créateur sauve l’âme qu’il a faite... Quand tu commences à détester ce que tu as fait, c’est qu’il n’y a pas de bien dans ce que tu as fait, et le mal est l’absence de bien.
Le commencement des œuvres bonnes, c’est la confession des œuvres mauvaises. Tu fais la vérité et tu viens à la Lumière.
La pénitence
Beaucoup de péchés causent du tort au prochain. Il faut faire le possible pour le réparer (par exemple restituer des choses volées, rétablir la réputation de celui qui a été calomnié, compenser des blessures). La simple justice exige cela. Mais en plus, le péché blesse et affaiblit le pécheur lui-même, ainsi que ses relations avec la Création et l’éloigne du Très Haut.. L’absolution enlève le péché, mais elle ne remédie pas à tous les désordres que le péché a causés.
Relevé du péché, le pécheur doit encore recouvrer la pleine santé spirituelle. Il doit donc faire quelque chose de plus pour réparer ses péchés : il doit " satisfaire " de manière appropriée ou " expier " ses péchés. Cette satisfaction s’appelle aussi " pénitence ".
La pénitence, que le confesseur impose, doit tenir compte de la situation personnelle du pénitent et doit chercher son bien spirituel. Elle doit correspondre autant que possible à la gravité et à la nature des péchés commis. Elle peut consister dans la prière, une offrande, dans les œuvres de miséricorde, le service du prochain, dans des privations volontaires, des sacrifices, et surtout dans l’acceptation patiente de la punition.
On accepte de souffrir car on a fait souffrir, mais il ne faut pas oublier que souffrir n’est pas une vertu.
La souffrance comme pénitence n’a de sens que si elle sert à nous rappeler combien si elle est pénible pour nous, elle le fut pour celui qui a été notre victime.
Oane a dit « ne cherchez pas Dieu dans la souffrance, mais souvenez vous d’avoir souffert pour ne pas le perdre. »
L’absolution ou la réconciliation.
Le fidèle qui a reconnu et confessé ses fautes, qui a réparé les torts causés, qui reconnaît qu’elles sont sources de mal et les abjure de toute son âme, celui là pourra recevoir l’absolution d’un confesseur et le Très Haut ne lui reprochera pas les actes absous justement. En revanche si le pécheur à triché avec lui-même pour obtenir le pardon il sera jugé doublement car il a blasphémé un sacrement.
L’absolution de l’Eglise libère l’âme du poids du péché, mais n’efface pas la temporalité de celle-ci si elle est connue et hors des loi des hommes.
Ainsi le conjoint qui commet l’adultère ne peut être déchargé temporellement de sa faute que si celui ou celle envers qui il l’a commis lui pardonne aussi. Ainsi le criminel ne serra pas déchargé de ses responsabilités envers la justice tant que la justice ne déclare pas en avoir fini avec lui.
En revanche nul ne pourra être poursuivi après avoir confessé ses fautes sur le seul fait de la confession, car si elle est faite en privé le confesseur est tenu au secret et est lié par le Très Haut à la garder secrète jusque et après la mort.
aurelien87- Nombre de messages : 382
Date d'inscription : 10/08/2012
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