Hagiographie de Saint Karel (PJ) patron des prêcheurs
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Hagiographie de Saint Karel (PJ) patron des prêcheurs
Pax melior est quam iustissumum bellum
La paix est meilleure que la plus juste des guerres
Religieux revenu ensuite à la vie laïc, Karel est mort le 7 mai 1454 à La Trémouille en Poitou.
Karel est présenté à la béatification en tant que bâtisseur de l’Église, pour laquelle toujours il œuvra du mieux qu’il put et du mieux qu'il le pensait.
Simple paysan, il ne possédait comme bien que le strict nécessaire pour vivre. Ni cultivateur, ni négociant, il considérait ce dénuement comme la seule vraie preuve de sa foi.
PREMIERS PAS
Jeune serf et poussé par la faim et la tyrannie d'un triste sire, Karel a quitté, au temps de la cueillette des mures, le hameau où il fut élevé par sa mère. Cette errance prit fin à son arrivée à Guéret où même s’il n’était qu’un simple gueux, il était libre, ne cherchant qu'à s'établir avec honneur et respect. Il ne savait alors où le mèneraient ses pas...
Nommé curé par Monseigneur Vilca en novembre 1453, après avoir travaillé quelques temps à l’église Saint-Martial de Guéret, la première cure qui lui fut confiée et où il œuvra pour l'Église et pour l'ordre cistercien du mieux qu’il put.
L’ITINÉRANCE
L’hiver régnait sur le Limousin et les attaques de loups étaient nombreuses mais pourtant Karel se sentait toujours plus appelé à aller sur les routes des Royaumes pour porter les enseignements des prophètes. Et c’est aux jours les plus froids et les sombres qu’il emprunta les routes du Royaume, itinérant et prêchant, pour le bien de ceux qu’il pourrait rencontrer. Limousin, Poitou et Anjou le virent alors faire étape alors même que le Royaume était en proie à d’intenses et fratricides querelles. Souvent il rencontrait méfiance et interrogation dans les paroisses qu'ils traversaient, tant les temps étaient troubles. L'arrivée d'un homme inconnu, même un homme d’Église, pouvait être perçue comme une menace. A ceux qui doutaient, souvent il répondait :
LE COMBAT POUR LA PAIX
Menaces de guerre civiles, soulèvement en tout genre, même les plus sages voyaient leur esprit empli de colère. Pourtant, partout où il passait, dans les églises vides où il officiait ou dans les chapelles itinérantes qu’ils édifiaient et aujourd'hui effondrées, Karel ne cessait de prêcher en faveur de la paix entre les hommes. Ses appels à l'apaisement résonnaient en permanence aux oreilles des paroissiens.
Les fidèles n'attendaient souvent qu'un signe de l’Église à laquelle ils appartenaient et souvent ces mots leur donnaient la force de combattre pour la paix. Et même si les puissants belliqueux n'avaient que peu d'échos de cette volonté des humbles d'éviter les luttes, les ravages de la guerre s'arrêtèrent pourtant aux portes de ceux qui écoutaient la Parole portée.
Mais si le siècle était troublé, les travées de Rome l'étaient tout autant. Sa Sainteté Nicolas V mourut à la fin de l'année 1454 et tous attendaient de son successeur qu'il trace sa voie dans celle de celle du défunt pape.
L'ENGAGEMENT THOMISTE - TENDRE LA MAIN
La réforme et le refus du schisme
Cependant, le Pape Eugène V, dès son accession au trône pontifical engagea une réforme dogmatique d'importance qui aurait pu avoir pour effet de minorer l'exemple de la vie de Christos. Certains prêtres se levèrent et refusèrent d'abandonner ce qui avait été édifié jusqu'alors. Après d'âpres débats dans les jardins du Vatican, Karel, aux côtés d'Abysmo, de Leto2, de Lorgol et de Trufaldini, suivit Himérius dans la grande aventure de l’Église Conservatrice Aristotélicienne (ECA).
Luttant pied à pied contre ce qu'il considéraient comme une trahison, mis au ban de leur Famille, ces hommes défendirent leur Foi sans faillir. Mais lourdes étaient les peines qui accompagnaient ce combat permanent et atroces les déchirures qui régnaient en l’Église. Les menaces de schisme pesaient sur l'aristotélisme.
Appelant à la Raison et à la Foi qui unissait les frères et les sœurs qui se déchiraient Karel, ne pouvant accepter que l'Église soit atteinte en son sein, lança alors un appel à la réconciliation, refusant de céder aux velléités de division de certains et déployant de grands efforts de diplomatie afin que les différences de chacun puissent être accepter.
L'EXEMPLE - L’HUMILITÉ COMME PRINCIPE D'EXISTENCE
Devenu évêque de Limoges, Karel participa activement à la vie de l’Église, tant au dogme qu'à la vie des paroisses, avec pour seul volonté de servir ceux qui en avaient le plus besoin. Homme de terrain il ne supportait guère le confort qui pouvait lui être offert et préférait toujours l'austérité des cellule ecclésiastiques. Pourtant il n'en tirait aucun orgueil, simplement convaincu qu'il n'existait aucune autre façon de vivre aussi digne.
Mais ces engagements eurent un impact fort sur Karel, tant ses paroles trouvaient parfois peu d'écho. A la recherche du repos, il décidé de quitter les ordres. Cette décision fut renforcée par la rencontre qu'il fit de Patity, celle qui devint plus tard son épouse.
QUITTER LES ORDRES MAIS TOUJOURS VIVRE L’ÉGLISE
Redevenu un simple laïc, il occupa alors un poste d'ambassadeur du Poitou, tâche qu'il accomplit avec la rigueur qui était la sienne. Il n'abandonna pas pour autant ses convictions et continua de veiller au salut des plus humbles.
DERNIERS SURSAUTS DOGMATIQUES ET MORT
Une nouvelle génération de théologiens était apparue et quoique sincères dans leurs convictions dogmatiques, ces serviteurs de l’Église évacuaient souvent la passion de leurs débats. Les conversations enflammées qu’avait pu avoir Karel avec ses frères thomistes ou avec des hommes comme Moile, Egmont ou Lescure, aujourd’hui disparus, ou encore Fredstleu ou Jeandalf n’étaient désormais guère plus tolérées.
Pourtant malgré cela il tenta encore de faire entendre sa voix.
Mais les choses étaient vraiment bien différentes et Karel se vit souvent mis à l’index pour une ardeur théologique bien souvent incomprise, lui l’homme de terrain qui n’avait éprouvé les textes que sur le terrain et jamais dans les bibliothèques, lui dont certains affirmaient qu’il ne savait pas lire. Une nouvelle lassitude le gagna alors, plus profonde et plus insidieuse, de se voir une nouvelle fois montré comme un agitateur, lui qui avait toujours cherché à unir les frères et à apaiser les esprits.
La nouvelle survint plusieurs lunes avant le printemps qu’il appréciait tant, Karel était mort, laissant une veuve et de nombreux amis éplorés. Et certains prétendent que dans son dernier souffle, Karel lâcha ces mots.
PRIERES DEDIEES
SOUVENIRS
MAXIMES
Qu’Il permette à notre Famille de rester unie.
La clarté est source de paix...
Saboter la paix, même une mauvaise paix, est pire que faire la guerre.
Que le Puissant fortifie le bras de ses fidèles serviteurs !
C'est un choix souvent bien difficile mais ô combien enrichissant. Au sujet de la pauvreté.
RELIQUE
Son bâton de marche, simple bout de bois ramassé sur les chemins, symbole de son œuvre de diffusion et de défense de la foi, recueillie en l’église de La Trémouille.
ÉLÉMENTS LIES
La simplicité et l’écoute, proposé comme saint patron des prêcheurs.
La paix est meilleure que la plus juste des guerres
Religieux revenu ensuite à la vie laïc, Karel est mort le 7 mai 1454 à La Trémouille en Poitou.
Karel est présenté à la béatification en tant que bâtisseur de l’Église, pour laquelle toujours il œuvra du mieux qu’il put et du mieux qu'il le pensait.
Simple paysan, il ne possédait comme bien que le strict nécessaire pour vivre. Ni cultivateur, ni négociant, il considérait ce dénuement comme la seule vraie preuve de sa foi.
PREMIERS PAS
Jeune serf et poussé par la faim et la tyrannie d'un triste sire, Karel a quitté, au temps de la cueillette des mures, le hameau où il fut élevé par sa mère. Cette errance prit fin à son arrivée à Guéret où même s’il n’était qu’un simple gueux, il était libre, ne cherchant qu'à s'établir avec honneur et respect. Il ne savait alors où le mèneraient ses pas...
Nommé curé par Monseigneur Vilca en novembre 1453, après avoir travaillé quelques temps à l’église Saint-Martial de Guéret, la première cure qui lui fut confiée et où il œuvra pour l'Église et pour l'ordre cistercien du mieux qu’il put.
Commerce ou politique, nombreuses sont les voies qui s'ouvrent à ceux qui œuvrent sur cette basse terre. Mais le service de l’Éternel apporte plus de fruits que toutes les richesses ne le pourront jamais. Discours suivant son ordination.
L’ITINÉRANCE
L’hiver régnait sur le Limousin et les attaques de loups étaient nombreuses mais pourtant Karel se sentait toujours plus appelé à aller sur les routes des Royaumes pour porter les enseignements des prophètes. Et c’est aux jours les plus froids et les sombres qu’il emprunta les routes du Royaume, itinérant et prêchant, pour le bien de ceux qu’il pourrait rencontrer. Limousin, Poitou et Anjou le virent alors faire étape alors même que le Royaume était en proie à d’intenses et fratricides querelles. Souvent il rencontrait méfiance et interrogation dans les paroisses qu'ils traversaient, tant les temps étaient troubles. L'arrivée d'un homme inconnu, même un homme d’Église, pouvait être perçue comme une menace. A ceux qui doutaient, souvent il répondait :
Je ne suis ici que pour porter la Parole à ceux qui veulent bien l’entendre.
LE COMBAT POUR LA PAIX
Menaces de guerre civiles, soulèvement en tout genre, même les plus sages voyaient leur esprit empli de colère. Pourtant, partout où il passait, dans les églises vides où il officiait ou dans les chapelles itinérantes qu’ils édifiaient et aujourd'hui effondrées, Karel ne cessait de prêcher en faveur de la paix entre les hommes. Ses appels à l'apaisement résonnaient en permanence aux oreilles des paroissiens.
La situation est aujourd'hui dans notre Royaume plus que préoccupante.
La violence des actes fait que les langues se délient et que la rancœur se déverse. J'entends ici ou là demander que des mesures soient prises dans un sens ou dans un autre, des mesures qui me paraissent lourdes de conséquences ; j'entends demander que des positions soient prises officiellement pour que s'engagent les affrontements, ce que j'entends fait trembler mon cœur....
Notre Royaume ne pourrait être que perdant d'une telle déchirure. Les mots peuvent être aussi tranchants que des dagues mais leurs coups ne sauraient être aussi mortels...
Je prie de toute mon âme pour qu'une solution soit trouvée mais je sais que cela n'est possible que si les nobles gens que vous êtes arrivent à apporter un peu de paix en leurs esprits...
Les fidèles n'attendaient souvent qu'un signe de l’Église à laquelle ils appartenaient et souvent ces mots leur donnaient la force de combattre pour la paix. Et même si les puissants belliqueux n'avaient que peu d'échos de cette volonté des humbles d'éviter les luttes, les ravages de la guerre s'arrêtèrent pourtant aux portes de ceux qui écoutaient la Parole portée.
Mais si le siècle était troublé, les travées de Rome l'étaient tout autant. Sa Sainteté Nicolas V mourut à la fin de l'année 1454 et tous attendaient de son successeur qu'il trace sa voie dans celle de celle du défunt pape.
L'ENGAGEMENT THOMISTE - TENDRE LA MAIN
La réforme et le refus du schisme
Cependant, le Pape Eugène V, dès son accession au trône pontifical engagea une réforme dogmatique d'importance qui aurait pu avoir pour effet de minorer l'exemple de la vie de Christos. Certains prêtres se levèrent et refusèrent d'abandonner ce qui avait été édifié jusqu'alors. Après d'âpres débats dans les jardins du Vatican, Karel, aux côtés d'Abysmo, de Leto2, de Lorgol et de Trufaldini, suivit Himérius dans la grande aventure de l’Église Conservatrice Aristotélicienne (ECA).
Luttant pied à pied contre ce qu'il considéraient comme une trahison, mis au ban de leur Famille, ces hommes défendirent leur Foi sans faillir. Mais lourdes étaient les peines qui accompagnaient ce combat permanent et atroces les déchirures qui régnaient en l’Église. Les menaces de schisme pesaient sur l'aristotélisme.
Appelant à la Raison et à la Foi qui unissait les frères et les sœurs qui se déchiraient Karel, ne pouvant accepter que l'Église soit atteinte en son sein, lança alors un appel à la réconciliation, refusant de céder aux velléités de division de certains et déployant de grands efforts de diplomatie afin que les différences de chacun puissent être accepter.
Cet appel fut entendu par les pères de l’Église et fut alors fondée la Congrégation de Saint-Thomas, qui occupe depuis lors une place à part entière au sein de l’Église aristotélicienne et dont Karel fut le premier recteur. Celui-ci, fort de cette expérience s'engagea toujours pour que nul frère ne soit jamais abandonné au bord du chemin.
Œuvrons pour un rapprochement des sœurs déchirées et n’attisons pas des troubles déjà fort grands.
Ne portons pas l'opprobre sur les paroles de nos frères et sœurs, quelle que soit leur position, quelle que soit la dureté de leur propos mais faisons en sorte que les mains se tendent et soient saisies.
Les lèvres peuvent servir le bien ou le mal, proférer des mensonges ou de sages enseignements, mais rappelons nous que l’homme juste et bon ne maudit pas ses ennemis. Notre Famille, comme chacune, possède ses brebis galeuses, mais gardons nous de les juger et cherchons plutôt à les ramener dans le juste chemin.
L'EXEMPLE - L’HUMILITÉ COMME PRINCIPE D'EXISTENCE
Devenu évêque de Limoges, Karel participa activement à la vie de l’Église, tant au dogme qu'à la vie des paroisses, avec pour seul volonté de servir ceux qui en avaient le plus besoin. Homme de terrain il ne supportait guère le confort qui pouvait lui être offert et préférait toujours l'austérité des cellule ecclésiastiques. Pourtant il n'en tirait aucun orgueil, simplement convaincu qu'il n'existait aucune autre façon de vivre aussi digne.
Très au fait des débats qui animaient l’Église, il ne s'y attardait pourtant que si elles pouvaient servir les fidèles. Et il ne considérait pas comme primordial pour l’Église de s'immiscer dans les affaires temporelles, convaincu qu'il était que les âmes savaient reconnaître la voie dès qu'on leur en montrait l'exemple.Notre mission ne se limite pas à débattre du sexe des anges. Qu'il soit prélat ou simple diacre, l'homme d'Eglise est avant tout un missionnaire au service de la Parole Sacrée.
La soif de pouvoir et l'avidité de certains ne sauraient pouvoir entacher les mérites de ceux qui vivent au quotidien pour notre Église.
Quel titre pour les chroniques qui relateront cet épisode ? "De la manière de renforcer sa position par une démonstration de force". [i]Au sujet des troubles cathares.
Mais ces engagements eurent un impact fort sur Karel, tant ses paroles trouvaient parfois peu d'écho. A la recherche du repos, il décidé de quitter les ordres. Cette décision fut renforcée par la rencontre qu'il fit de Patity, celle qui devint plus tard son épouse.
QUITTER LES ORDRES MAIS TOUJOURS VIVRE L’ÉGLISE
Redevenu un simple laïc, il occupa alors un poste d'ambassadeur du Poitou, tâche qu'il accomplit avec la rigueur qui était la sienne. Il n'abandonna pas pour autant ses convictions et continua de veiller au salut des plus humbles.
Mais qu’elle que fut sa vie, (et bien qu’interdit de séjour au Vatican), il resta toujours informé des questions qui traversaient la vie de son Église. Cet intérêt ne s’était jamais éteint et bien que bien moins fringant que par le passé, il décida, quand il le put, de retourner dans l’arène des débats théologiques. Mais s’il n’était parti que quelques mois depuis son départ, les choses n’étaient pourtant plus les mêmes.Peu importent les titres, la reconnaissance et autres gloires dont chacun peut s’enorgueillir, peu importe… Ne croyez pas aveuglément celui porte titres et lettres de cachets, attendez de le voir agir…
DERNIERS SURSAUTS DOGMATIQUES ET MORT
Une nouvelle génération de théologiens était apparue et quoique sincères dans leurs convictions dogmatiques, ces serviteurs de l’Église évacuaient souvent la passion de leurs débats. Les conversations enflammées qu’avait pu avoir Karel avec ses frères thomistes ou avec des hommes comme Moile, Egmont ou Lescure, aujourd’hui disparus, ou encore Fredstleu ou Jeandalf n’étaient désormais guère plus tolérées.
Pourtant malgré cela il tenta encore de faire entendre sa voix.
La Congrégation de Saint-Thomas, certes créées dans l'opposition, n'a pas vocation à l'opposition systématique, au contraire, notre but est de participer à l'édification riche et harmonieuse dans sa diversité de notre Église.
Car le dogme qui sera le nôtre sera le fruit de la réflexion de tous et non pas une agrégation de textes épars. Nous n’avons pas volonté à imposer quoi que ce soit. Défense de "De l'unité dans la diversité".
Mais les choses étaient vraiment bien différentes et Karel se vit souvent mis à l’index pour une ardeur théologique bien souvent incomprise, lui l’homme de terrain qui n’avait éprouvé les textes que sur le terrain et jamais dans les bibliothèques, lui dont certains affirmaient qu’il ne savait pas lire. Une nouvelle lassitude le gagna alors, plus profonde et plus insidieuse, de se voir une nouvelle fois montré comme un agitateur, lui qui avait toujours cherché à unir les frères et à apaiser les esprits.
La nouvelle survint plusieurs lunes avant le printemps qu’il appréciait tant, Karel était mort, laissant une veuve et de nombreux amis éplorés. Et certains prétendent que dans son dernier souffle, Karel lâcha ces mots.
Je ne comprends rien à vos hurlements...
PRIERES DEDIEES
Humble parmi les humbles, la foi en l’Éternel m'a permis de survivre jusqu'à ce qu'Il me guide sur les terres hospitalières de ce royaume, où les âmes fortes suivent Sa parole. Il m'a conduit jusqu'à la porte de Sa maison, et m'a mené devant un homme juste et bon qui, écoutant les paroles des saints de l’Église, est venu me chercher à la dernière place parce qu'il savait que je ne pouvais rien lui rendre. Béni soit cet homme. Comme lui, je m'attacherais à accueillir en notre Église, dont je suis aujourd'hui un serviteur, les pauvres et les indigents. Je m'attacherais à porter la Parole partout où elle pourra être entendue. Acte de foi prononcé lors de son ordination
Aidez-nous à vaincre les peurs qui sont nombreuses en ces temps troubles et à ne pas succomber à cette haine qui règne en maître dans la tête et le cœur des hommes.Prière d'espérance
SOUVENIRS
Karel, je l'ai vu, a servi au mieux la congrégation. c'est un grand homme .
Lovian
Les thomistes perdent un fondateur, et moi un ami.
Oh, Karel! Puisses-tu être accueilli à la droite de Dieu, et puisse Christos reconnaître en toi son plus fidèle serviteur.
J'entretiendrai toujours le souvenir ému de nos longues conversations. Certes, nous avons échangé, mais j'ai également beaucoup appris de toi.
Lorgol
Tu as ta place parmi les grands. Tu m'as appris ce qu'était la vertu et tu as été le premier à me faire confiance.
Alino
Frère Karel a bien servi l’Église, il n' a pas démérité, et n' a pas failli...
Gandalf_NIM
Je perds encore un ami.
Vilca
Karel, nul doute que le Seigneur t'accueillera parmi les siens. Tu seras pour nous un exemple!
Trufaldini
Votre disparition est une bien triste nouvelle.
Lescure
MAXIMES
Qu’Il permette à notre Famille de rester unie.
La clarté est source de paix...
Saboter la paix, même une mauvaise paix, est pire que faire la guerre.
Que le Puissant fortifie le bras de ses fidèles serviteurs !
C'est un choix souvent bien difficile mais ô combien enrichissant. Au sujet de la pauvreté.
RELIQUE
Son bâton de marche, simple bout de bois ramassé sur les chemins, symbole de son œuvre de diffusion et de défense de la foi, recueillie en l’église de La Trémouille.
ÉLÉMENTS LIES
La simplicité et l’écoute, proposé comme saint patron des prêcheurs.
aurelien87- Nombre de messages : 382
Date d'inscription : 10/08/2012
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