Sainte boulasse (PNJ)
Archevêché de Reims :: Bibliothèque Sainte-Geneviève :: La Bibliothèque :: Livre 3/C: les Saints Aristotéliciens
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Sainte boulasse (PNJ)
Vie de Sainte Boulasse.
La jeune Boulasse est né en 552 à Beaune en Bourgogne. Ses parents, païens, tenaient une taverne respectable sur la place du marché, la « Taverne des Hospices » (bière à 0,60 écus et menus à 6). Gens sérieux et respectables ils n’en priaient pas moins les idoles et méconnaissaient le message de L’Église. Cependant ces braves taverniers s’approvisionnaient en vin et bière auprès des moines des environs et Boulasse qui s’occupait de la réserve avait de fréquents contacts avec eux.
comme elle était ouverte et intelligente, les moines l’initièrent, à la fois, à la foi et à l’œnologie.
C’est au cours d’une de ses très longues nuits de formation et discussion théologiques dans l’arrière salle de ses parents qu’elle fût éblouie par la lumière divine dans le reflet d'une pinte.
Convertie et sure de sa foi, Boulasse quitta ses parents et choisi la voie de l’Église. Elle fut formée par un des moines qui l'avaient pris sous leur aile, fort impressionnés par sa force de conviction.
Ressentant le besoin impérieux de prêcher pour sa nouvelle foi, elle se fit ordonner secrètement prêtre en 582 , en dépit des interdictions et consciente des risques mais sure de suivre les desseins divins. Ne pouvant devenir curée, elle ouvrit une taverne « au bon croyant » où elle fit des conversions et donna des cours de catéchisme, et même dit-on, elle y aurait baptisé des croyants avec l'aide et le soutien du curé de Mâcon.
Rompue aux prêches de grande écoute et gérant sa taverne de main de maître, elle eut une action missionnaire d’envergure sur la ville et convertit les masses à la vraie religion. On se souviendra longtemps de son action charitable envers les vagabonds et de l’organisation de ses quiz religieux en taverne avec ses lots de bière à gagner.
Après avoir converti la plupart des habitants de Mâcon, Boulasse ressentit le besoin de voyager et de propager le message d’Aristote. Elle dirigea ses pas et son chariot plein de pains et de vin vers le pays alamand voisin, dans le SERG actuel, , pour les initier au repas de l’amitié aristotélicienne.
Cependant les habitants furent moins réceptifs à sa prédication et elle se trouva face à un roi cruel et païen, Childehald, qui refusa de renier les faux dieux de ses pères. Ne se décourageant pas , la sainte prêcha en public, construisit la première église à Cologne et voulut créer une taverne pour faciliter sa sainte tâche missionnaire.
Mais Childehald ne l’entendit pas ainsi et prit un arrêté anti-prédication. Boulasse l’ayant enfreint, elle fut déférée par le procureur et condamnée pour haute trahison. La sentence d’éradication devait être exécutée en place publique, pour édifier la population, et en utilisant l’outil de son crime : ses saintes victuailles. Le bourreau lui fit boire de force du vin en grande quantité mais la sainte ne faiblissait pas, soutenue par Aristote, elle supportait vaillamment son martyre, tout en prêchant encore depuis l’échafaud.
Childehald, fou de rage, décida d’en finir et ordonna de la noyer dans le dernier fut de Hautes-côtes de Beaune qu’il restait.
Quand on retira Boulasse du fût, son visage resplendissait de bonheur. Devant ce spectacle surprenant, Childehald fut frappé de repentir et, touché par la grâce, il se converti et fit convertir tout son peuple.
Ayant accompli sa tâche terrestre et ouvert la voie à la conversion des alamands, Boulasse décida de cuver tranquillement auprès du Seigneur et de rejoindre le soleil.
Depuis, Sainte Boulasse est devenu la patronne des vignerons et surtout des Taverniers et elle est encore invoquée par ceux-ci ou par leurs clients lorsqu’ils doivent faire face à une soirée harassante de travail ! Il n’est pas rare d’entendre dans nos Tavernes, l’exclamation familière et pleine d’affection pour la Sainte : « Que la Boulasse soit avec toi ! »
Reliques :
· Le chef de la Sainte est conservé et vénéré en la Basilique de Cologne.
· Le cœur et le Foie de la Sainte ont été ramenés et enchâssés à Mâcon et sont conservés dans le trésor de l’église de la ville.
Culte de la Sainte :
Le culte de Sainte Boulasse est attesté à Cologne et Mâcon depuis le VIème siècle et les reliques de la Sainte sont toujours utilisées lors de la procession de bénédiction de la vigne de Mâcon qui a lieu le 22 septembre, avant les vendanges.
Citations :
· C’est pas parce que la communion est gratuite, qu’il faut se moquer des fidèles et distribuer du picrate.
· Je ne renierai pas ma foi pour tout le vin du monde !
· Vraiment une telle félicité ne peut être que divine ! Pardonne nous Boulasse pour notre aveuglement ! (Childehald devant le corps supplicié de la Sainte)
· Il vaut mieux la bière dans le corps que le corps dans la bière.
· Il faut boire avec modération et prier avec ferveur.
· J’ai plus de cœur que de foie mais je peux tout digérer si c’est dit par amour du Très Haut.
· Si Christos n’avait pas voulu de femmes prêtres il l’aurait dit.
· Ne plus croire crée une crise de foi, trop boire une crise de foie.
· Si Notre Créateur avait voulu que la femme se cantonne à la procréation, il nous aurait rendus incapable d’aimer d’autres humains que le sang de notre sang.
· Je respecte les lois dictées par la foi, mais si l’Église refuse les femmes en prêtrise c’est pour faire plaisir aux empereurs et non à Dieu.
· Même si ce n’est pas pour demain, un jour il y aura à nouveaux des femmes curées et même des femmes évêques...
· Qui mieux qu’une femme peut mener des hommes par le bout du nez ?
· Elle avait mi une pancarte dans sa taverne « La maison ne fait pas crédit aux riches, mais offre l’eau et le pain aux démunis »
- symbole : six roses
La jeune Boulasse est né en 552 à Beaune en Bourgogne. Ses parents, païens, tenaient une taverne respectable sur la place du marché, la « Taverne des Hospices » (bière à 0,60 écus et menus à 6). Gens sérieux et respectables ils n’en priaient pas moins les idoles et méconnaissaient le message de L’Église. Cependant ces braves taverniers s’approvisionnaient en vin et bière auprès des moines des environs et Boulasse qui s’occupait de la réserve avait de fréquents contacts avec eux.
comme elle était ouverte et intelligente, les moines l’initièrent, à la fois, à la foi et à l’œnologie.
C’est au cours d’une de ses très longues nuits de formation et discussion théologiques dans l’arrière salle de ses parents qu’elle fût éblouie par la lumière divine dans le reflet d'une pinte.
Convertie et sure de sa foi, Boulasse quitta ses parents et choisi la voie de l’Église. Elle fut formée par un des moines qui l'avaient pris sous leur aile, fort impressionnés par sa force de conviction.
Ressentant le besoin impérieux de prêcher pour sa nouvelle foi, elle se fit ordonner secrètement prêtre en 582 , en dépit des interdictions et consciente des risques mais sure de suivre les desseins divins. Ne pouvant devenir curée, elle ouvrit une taverne « au bon croyant » où elle fit des conversions et donna des cours de catéchisme, et même dit-on, elle y aurait baptisé des croyants avec l'aide et le soutien du curé de Mâcon.
Rompue aux prêches de grande écoute et gérant sa taverne de main de maître, elle eut une action missionnaire d’envergure sur la ville et convertit les masses à la vraie religion. On se souviendra longtemps de son action charitable envers les vagabonds et de l’organisation de ses quiz religieux en taverne avec ses lots de bière à gagner.
Après avoir converti la plupart des habitants de Mâcon, Boulasse ressentit le besoin de voyager et de propager le message d’Aristote. Elle dirigea ses pas et son chariot plein de pains et de vin vers le pays alamand voisin, dans le SERG actuel, , pour les initier au repas de l’amitié aristotélicienne.
Cependant les habitants furent moins réceptifs à sa prédication et elle se trouva face à un roi cruel et païen, Childehald, qui refusa de renier les faux dieux de ses pères. Ne se décourageant pas , la sainte prêcha en public, construisit la première église à Cologne et voulut créer une taverne pour faciliter sa sainte tâche missionnaire.
Mais Childehald ne l’entendit pas ainsi et prit un arrêté anti-prédication. Boulasse l’ayant enfreint, elle fut déférée par le procureur et condamnée pour haute trahison. La sentence d’éradication devait être exécutée en place publique, pour édifier la population, et en utilisant l’outil de son crime : ses saintes victuailles. Le bourreau lui fit boire de force du vin en grande quantité mais la sainte ne faiblissait pas, soutenue par Aristote, elle supportait vaillamment son martyre, tout en prêchant encore depuis l’échafaud.
Childehald, fou de rage, décida d’en finir et ordonna de la noyer dans le dernier fut de Hautes-côtes de Beaune qu’il restait.
Quand on retira Boulasse du fût, son visage resplendissait de bonheur. Devant ce spectacle surprenant, Childehald fut frappé de repentir et, touché par la grâce, il se converti et fit convertir tout son peuple.
Ayant accompli sa tâche terrestre et ouvert la voie à la conversion des alamands, Boulasse décida de cuver tranquillement auprès du Seigneur et de rejoindre le soleil.
Depuis, Sainte Boulasse est devenu la patronne des vignerons et surtout des Taverniers et elle est encore invoquée par ceux-ci ou par leurs clients lorsqu’ils doivent faire face à une soirée harassante de travail ! Il n’est pas rare d’entendre dans nos Tavernes, l’exclamation familière et pleine d’affection pour la Sainte : « Que la Boulasse soit avec toi ! »
Reliques :
· Le chef de la Sainte est conservé et vénéré en la Basilique de Cologne.
· Le cœur et le Foie de la Sainte ont été ramenés et enchâssés à Mâcon et sont conservés dans le trésor de l’église de la ville.
Culte de la Sainte :
Le culte de Sainte Boulasse est attesté à Cologne et Mâcon depuis le VIème siècle et les reliques de la Sainte sont toujours utilisées lors de la procession de bénédiction de la vigne de Mâcon qui a lieu le 22 septembre, avant les vendanges.
Citations :
· C’est pas parce que la communion est gratuite, qu’il faut se moquer des fidèles et distribuer du picrate.
· Je ne renierai pas ma foi pour tout le vin du monde !
· Vraiment une telle félicité ne peut être que divine ! Pardonne nous Boulasse pour notre aveuglement ! (Childehald devant le corps supplicié de la Sainte)
· Il vaut mieux la bière dans le corps que le corps dans la bière.
· Il faut boire avec modération et prier avec ferveur.
· J’ai plus de cœur que de foie mais je peux tout digérer si c’est dit par amour du Très Haut.
· Si Christos n’avait pas voulu de femmes prêtres il l’aurait dit.
· Ne plus croire crée une crise de foi, trop boire une crise de foie.
· Si Notre Créateur avait voulu que la femme se cantonne à la procréation, il nous aurait rendus incapable d’aimer d’autres humains que le sang de notre sang.
· Je respecte les lois dictées par la foi, mais si l’Église refuse les femmes en prêtrise c’est pour faire plaisir aux empereurs et non à Dieu.
· Même si ce n’est pas pour demain, un jour il y aura à nouveaux des femmes curées et même des femmes évêques...
· Qui mieux qu’une femme peut mener des hommes par le bout du nez ?
· Elle avait mi une pancarte dans sa taverne « La maison ne fait pas crédit aux riches, mais offre l’eau et le pain aux démunis »
- symbole : six roses
aurelien87- Nombre de messages : 382
Date d'inscription : 10/08/2012
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