Saint Benoît (PNJ) Patron des Clercs & du Monachisme
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Saint Benoît (PNJ) Patron des Clercs & du Monachisme
introduction :
Benoît de Pise Yaolo, Ben pour les afficionados ou Saint Benoît pour les aristotéliciens, fondateur de l'ordre bénédictin désormais éteint et surtout inspirateur de l'essor monastique. Il est considéré comme le Saint Patron des ordres religieux aristotéliciens et du monachisme, inspiré par la Tablette d'Oane, rédacteur de la Règle Saint-Benoît (mère de toutes les autres chartes internes aristotéliciennes) et des 12 préceptes portant aussi son nom destiné à civiliser un peu la vie de la cité.
Enfance :
Le petit ben est né vers l’an 480 dans une famille de snobinards romains. En proie à une crise existentielle et rejetant le mode vie dépravé de son milieu, il s'intéressa à l'étude de la logique d'Aristote et au mysticisme de Christos.
A cette époque, une bonne part des populations rurales des Royaumes d'occident était la proie des pires hétérodoxies. Le petit ben rencontra un vieil homme, un ermite, sur un marché. Benoît lui demanda pourquoi il vivait ainsi, différent des autres, marginal parmi les marginaux. Le vieil homme lui répondit par la réponse de Christos : " Disciples ! Vivez pour les autres au lieu d’attendre des autres qu’ils vivent pour vous. C’est à la cité d’accueillir les marginaux, et non aux marginaux d’aider la cité. "
L’ermite lui apprit que la morale qui ouvre à Dieu doit être transmise aux hommes unis dans la même cité. Pour les guider, il faut la raison. Celle-ci vient par l’éducation en suivant les sages, les hommes et femmes mûrs, qui ont avancé sur la route de la Vérité. Ainsi peut surgir la morale qui ouvre à Dieu et donne la paix dans la "grande boulasse". Ils se mirent à parler, à discuter. Leur échange dura trois jours et trois nuits Ils n’en eurent cure, continuèrent ainsi et ils finirent par s’endormir...
Lorsqu’il s’éveilla, Benoît était seul, l’ermite avait disparu. Sa voix résonnait encore en lui en une phrase qui resta gravée jusqu’à ses dernières gouttes de vie : "une cause finale est une intelligence pure, une divinité. Si on remonte l’ordre des causes et des effets, on ne trouve qu’une seule cause finale. Donc Dieu est unique … De Dieu il n’y en a qu’un, ce moteur immobile du monde, cette volonté parfaite qui est la source de toute substance, de tout mouvement. Dieu est la finalité cosmique de l’univers.". Benoît tomba à genoux, saisit par l’intensité de la révélation qui se faisait jour en lui. Benoît rejeta les faux dieux des mondes obscurs tant il fut illuminé par la lumière de la Révélation.
aurelien87- Nombre de messages : 382
Date d'inscription : 10/08/2012
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