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Saint Noël (PNJ)

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Saint Noël (PNJ) Empty Saint Noël (PNJ)

Message par aurelien87 Ven 31 Aoû - 16:17


Hagiographie de saint Noël

Ses origines

Arrière-petit-fils d'un brave homme ayant suivit Christos de son vivant, Nicolas Noël est né dans un chariot tiré à ce qu’on dit par des cerfs dressés par son père.
A cette époque les registres n’existaient pas et on ne connaît pas le lieu exact, ni la date exacte de sa naissance mais on sait que c’était pendant un hiver particulièrement rude.

Noël faillit ne pas dépasser l’âge de la puberté tellement il avait souffert à sa naissance, et il a même été en état de mort plusieurs fois. Par contre à chaque retour à la vie, contrairement au commun des mortels, il revenait plus en forme que jamais.
Pourtant chaque année au solstice d’hivers il semblait mourir pendant cinq jours et cinq nuits, mais bien que son corps soit veillé certains prétendaient l’avoir vu à différent endroit, offrant du pain aux plus pauvres, du feu à ceux qui n’en avaient pas, et même un simple jouet aux enfants triste.

Sa vie

Vers l’âge de 15 ans alors qu’il n’avait jamais étudié, il racontait l’histoire de Christos que son arrière-grand-père avait transmit à son grand-père et qui lui-même l’avait transmis à ses enfants et petits enfants.
Le curé de sa paroisse l’invitait régulièrement à participer à la messe et en fit son diacre. Très vite tout le monde fut surpris de son érudition, sa simplicité, son amour pour les autres et ses connaissances intuitives du dogme aristotélicien.

Un jour où on le questionna sur les raisons de ses problèmes de santé liés à l’hiver il répondit :

Je parlerais d’un cadeau de Dieu plus que d’un problème, car à chaque fois que je frôle la mort j’en apprends de Christos et Aristote, car notre Créateur nous donne toutes les réponses à toutes les questions pour que nous puissions voir notre vie sous des jours nouveaux, et que nous puissions nous juger nous même avant d’être jugé.
En principe en revenant à la vie, nous laissons ces connaissances et un peu de notre force, mais Dieu en a fait autrement pour moi je pense, bien que je ne garde qu’une réponse, sans choisir la quelle, je ne perds pas tout de ma visite chez les Saints.

Bien entendu personne ne le prenait réellement au sérieux, et il ne l’était d’ailleurs peut être pas, mais tout ce que les gens retenaient de cet événement c’est que c’était un érudit et un homme aussi sage que bon.

Tout au long de l’année, il donnait la moitié de son temps pour aider les malheureux, pas forcément les pauvres, mais bien ceux qu’il nommait les malheureux.

Quand on lui demandait pourquoi il aidait des riches comme les pauvres, il aimait répondre des phrases qu’il disait tenir d’Aristote lui-même :
« Les talents du riche ne remplace pas le talent d’être heureux ».
« Être remplis de talents ne permet pas d’acheter le bonheur »
« on vit avec talent, mais on n’emporte pas ses talents dans la tombe »

Tous ne comprenaient pas, car il y avait longtemps que le talent n’était plus monnaye courante...

Vers l’âgé de 35 ans, il fut nommé Évêque et il continua sa vie de la même façon, aidant ceux qui devaient être aidé, quel que soit leur rang social, il était reconnu pour toujours avoir la parole ou le cadeau qu’il fallait pour rendre la boulasse aux plus malheureux.
Et chaque solstice d’hivers il semblait mourir, mais chaque fois 3 ou 4 jours plus tard il revenait plus en forme que jamais et organisait une messe vers minuit où il racontait une nouvelle histoire.
Une année il annonça que vu son grand âge, il avait près de 90 ans ce qui est un miracle en soi, il renonçait à sa charge et entreprendrait, seul, un dernier pèlerinage. Bien sur tout le monde voulu l’en dissuader, mais il promit qu’il reviendrait pour le 25 décembre, et que de toutes façons il faudrait bénir ce jour particulièrement car il avait appris de Christos et d’Aristote eux même, que c’était le jour de leur naissance à tous trois, Aristote étant né à midi et Christos à minuit et lui juste entre les deux, à dix huit heures.

La légende

Le Père Noël, comme avait continué de l’appeler ses fidèles, pris la route et revint parmi les siens le 6 décembre suivant.
Il ne répondit que peu aux questions sur ce pèlerinage, mais il avait ramené deux chariots. L’un remplis de bûches, et l’autre rempli autre de pains
Il fit distribuer le pain et le bois aux plus pauvres, et une fois la distribution terminée, il envoya les chariots faire le tour des plus riches à qui on demandait de déposer un présent.
Le 24 décembre, Monseigneur Noël organisa deux messes, l’une à midi en l’honneur d’Aristote et une à minuit en l’honneur de Christos, puis il se dirigeât vers la sacristie et plus personne ne le revit.

La totalité des villageois, du plus croyant au plus mécréant passèrent la nuit à le chercher, et c’est seulement au petit matin qu’épuisés, ils rentrèrent chez eux.
C’est là que la légende fut inscrite parmi les miracles, car chaque maison sans exception avait son foyer allumé et des cadeaux au pied de la cheminée.

Depuis cette époque, chaque année on dit un peu partout qu’en décembre il passe dans les maisons pour donner un peu de bonheur. On prétend même, que parfois, Christos et Aristote l’accompagnent directement...[/i]

aurelien87

Nombre de messages : 382
Date d'inscription : 10/08/2012

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